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Les mots sans le son


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Non, je parle de l'écriture personnelle, de ce mouvement qui va de l'intérieur vers l'extérieur pour exprimer ce qui s'est imprimé en soi - écrire pour dire son expérience, ses rêves, écrire pour dire son désir, l'attraper dans le filet des mots comme un poisson gigotant.
Celle que vous croyez, de Camille Laurens
Rien n'a plus de sens

Petite intro : raaah je devrais réviser mais j'ai jamais été une fille très très sérieuse ... Et puis faut que je couche tous ces souvenirs, pour pouvoir tourner une nouvelle page. Une page un peu plus rigolotte =)

Mercredi soir

Je le vois connecté sur Msn.
Il est chez lui, donc.
Peur, stress, mains moites, je prends mon téléphone.
Pourquoi j'ai tant le trac ?
Ouai bon ok d'accord ça fait 5 mois que j'ai pas entendu sa voix, mais bon.

- (lui) Allo oui ?
- oui
(silence)
- (moi) Allo ?
- Oui !?
- C'est Aphone
- Ouiii
- J'te dérange pas ?
- Non, non non ... Quoi d'neuf ?
- Je viens à Lille ce weekend
- Ah oui ?
- Oui ... J'ai été prise pour une colo en juillet, et mon directeur est lillois, la réunion se passe à Lille
- Ok
(petit silence)
- (moi) tu voudras qu'on se voit ?
- Oui !
- Tu es sur Lille en ce moment ?
- Oui, j'suis sur Lille pour l'instant
- Tu voudras que je te rappelle ?
- Oui. C'est quel jour ?
- Samedi
- A quelle heure ?
- Le début de la réunion, à 11h
- Et la fin ?
- Je sais pas
- Ok. (inquiet) Ca va ?
(la communication coupe)
(je rappelle)
- (moi) Désolée, ça a coupé
- Pas grave
- Ca vient de toi ou de moi ?
- Je sais pas, de qui ça venait
- Ok ça doit venir de moi ... et aussi, j'ai essayé de t'appeler sur ton fixe, ça ne marchait pas
- Oui, on l'a plus, c'est coupé, c'est fini, on l'aura sûrement plus ... tu as eu la tonalité ?
- Boite vocale
- Ok, en effet c'est un problème, faut vraiment que je pense à mettre un message ... Tu m'as appelé quand ?
- Ce soir ... Une bonne dizaine de fois ...
- Ah ok (petit rire)
- Alors, je te rappelle samedi ?
- Oui, voilà. On se voit samedi. (hésitant) Passe une bonne soirée
- D'accord, bonne soirée
- Salut ciao

Froid froid froid.
Ca aurait du le surprendre, il aurait du être destabilisé par mon appel.
Il a très bien joué l'indifférence.
Moi non.
Fuck.

Samedi matin

7h, je suis réveillée.
C'est aujourd'hui.

Je penche ma tête sur l'oreiller.
Le ciel est bleu pâle au dessus de moi.
Ok Aphone, action.
Douche, petit déj, choix de la meilleure tenue vestimentaire, un truc qui soit so much sans être too much.
Groumph, j'avais promis de m'en foutre.

9h, je suis à Porte d'Italie, mes rollers aux pieds, mon sac à dos.
J'ai voté pour mon short noir classe avec des collants, mon débardeur rose (qu'il aime, que j'avais la première fois (putain de détail de merde)), et un petit pull beige.
J'attends une voiture blanche.

9h15, la voiture est là, je rencontre mes deux futurs collègues animateurs de Paris.
On part, direction Lille.

Dans la voiture, je leur pose une foule de questions pour faire connaissance.
Ils font pareil, ce qui fait qu'il n'y a très vite aucun blanc.

L'un est prof, 27 ans, celui qui conduit et dont je ne vois que les yeux dans le rétro, contact agréable, il nous parle du Mali, de l'eau sur terre, de joins et de ses anecdotes de professeur.
L'autre est conteuse pour enfant, 28 ans, elle écrit des histoires, elle a un gros chien avec elle, elle lui parle comme à son enfant, son sourire est doux, son regard est pétillant.
Je suis à l'arrière, jambe en tailleur, le ciel est bleu clair, l'air passe par la fenêtre.
Zen.

Je consulte mon portable.
Vous avez un nouveau message, lire ?
Pourquoi pas.

- Salut Aphone, c'est Cat. J'espère que tu as fait bon voyage. Fais moi signe dès que possible i want to f... you

Je me raidis.

Lui répondre le fond de ma pensée ou rester zen ?
Une minute de reflexion.
J'ai promis que j'arrêtais de mentir, j'ai promis que je lui disais la vérité à présent.
Ok.
Je réponds.

- I'm not your fuck body, if it's just for that, laisse tomber, j'ai pas besoin

Je pense "quel connard".
Je me dis "tant pis".

Il répond.

- Sorry, je sais pas ce que tu as. Si tu veux pas me voir alors ok. Ca me permet de prendre mes dispositions, et pas virer la nana qui est avec moi. Kiss

Je pense "pffff, si t'es avec une nana pourquoi tu la fuck pas elle ?"
Allez, laisse-lui une chance, c'est dommage sinon.

- Je veux pas du schémas on baise et je dois partir. Je veux prendre de tes news, te parler, passer un moment avec toi. Sans non plus que ça s'éternise. Mais je t'en demande peut-être trop. Sinon à toute à l'heure
- Dis-moi quand tu peux passer, nous partagerons sans doute des tas de choses. Je te toucherai pas si tu le souhaites


Je pense "ouai ouai c'est ça".

- Je suis touchée que tu sois compréhensif. Merci. Nous verrons bien. Je file chez toi dès que ma réunion est terminée. Pour le moment je suis encore en voiture, presque arrivée. A toute
- A tte "ma puce"


"Ma puce" ...
C'est bête.
Je zappe.

J'arrive à les guider comme une pro dans Lille, on se gare.
Petites maisons rouges.
Aaah bordel, je suis à Lille !, je sautille.

On sonne à la porte de notre directeur, il nous ouvre, tout sourire, oh tu t'es coupé les cheveux !, je me dis que ça lui va beaucoup mieux quand-même, il ressemblait à rien l'autre jour à l'entretien.
L'appart est superbe.
On rencontre nos autres futurs collègues animateurs.
La réunion peut commencer.
Il est midi.

17h, la réunion est terminée.
On est tous hyper motivé, on déborde d'idées pour les gamins, pour les activités dans la nature, on programme de l'écologie, de la musique, des contes, des jeux d'eau, des nuits étoilées ...
Wahou !

Bon bah je vais y aller, bisous tout le monde.
J'enfile mes rollers, je dis au revoir, à bientôt tout le monde !, je file entre les briques rouges.

Le ciel est immense, l'air est tiède, j'ai chaud, j'enlève mon pull.
Cat, dans quelques minutes.
J'approche de chez lui.
Je reconnais les rues, l'église, c'est là, au coin.
Je me laisse glisser jusqu'à sa porte.
Je m'aprête à frapper, mais la porte s'ouvre d'un coup.
Cat derrière.
Salut !

Il dit c'est dingue, pile quand j'ouvre !
- Tu allais partir ?
- Non non, c'était pour faire entrer le soleil
- Ah ok

J'approche mon visage.
Sa bouche, ses joues ?
On se fait la bise.
Ca me va comme ça.

Il me dit entre.
J'entre, j'enlève mes rollers.
Je le regarde, je le vois faire un signe à quelqu'un.
Un signe qui veut dire laisse-nous seuls.
J'ignore son geste.

Je vais voir la personne.
C'est son ex coloc, le timide, vous vous connaissez ?, oui je t'ai déjà croisé pas vrai ?

Je m'assois sur le canapé.
Il s'assoit à côté de moi.

A côté y'a son coloc que je connais bien, il est absorbé par son mini ordinateur portable, des écouteurs dans les oreilles.
Cat dit c'est notre secrétaire, elle note tout ce qu'on dit, hein coloc ?
Il ne répond pas, on rit.
Ils se moquent.

Une discussion est lancée, sur moi, ma venue, ma colo, c'est où ?, on se retrouve à trois penchés sur une carte, c'est où ton bled paumé, on rit, on parle de rollers, de Paris, de Lille, des distances et des kilomètres heures.

Cat me sert de la bière, on trinque, à moi, elle a soif la secrétaire tu crois ?, boah elle se servira, le coloc emmerge, non j'ai trop bu hier, trop de téquila, il me montre une photo de lui hier soir, une tête d'allumée, il a 32 ans, Cat me parle de Lille 3000, les soirées, les concerts, les expos, il me jette un regard un peu fou, j'ai arrêté de trembler, je redécouvre ses yeux, les veines de son cou, sa voix, ses rires.

On part sur des sujets un peu philo, le coloc timide affirme qu'il sait parler aux mouches, je ris, je le contredis, l'intelligence des animaux, l'intelligence des hommes, la conscience, le langage, les enfants, l'amour, Cat qui me dit c'que tu es intelligente, je lui dis arrête, mon verre n'est pas encore vide, il me ressert, je le vois venir, je bois lentement, très lentement.

Je vois sa façon de me regarder en coin, moi, mon corps, je l'observe, tranquillement, souriante.

Un débat est lancé sur la tomate, fruit ou légume ?, notre secrétaire nous lit la définition sur Wikipédia, Cat me ressert, dit ah y'a pu de bière, faut aller en chercher, phrase destinée à son coloc, il comprend, il se lève, prend de l'argent, ferme la porte, on reste à deux, j'enchaine sur n'importe quoi, je ne lui laisse pas le temps.

Le coloc revient, une bière, du vin rouge, l'autre coloc est parti à une soirée, il est 19h, déjà ?, on zappe quelques programmes TV, l'odeur des pétards, le soleil qui disparait dans la pièce, son coloc bricole une lampe, je suis debout, Cat aussi, s'approche de moi, vite, sa bouche contre la mienne en une fraction de seconde, je souris, j'ai l'habitude de ses approches, j'accepte, il m'embrasse, toujours aussi étrangement.

Il me dit tu ne veux pas faire l'amour ?, je dis peut-être, on se recroise ensuite dans la cuisine, ses lèvres à nouveau, et ses mains sur mon corps, j'adore ton petit short, je dis merci, il s'agite, tu veux pas monter ?, je souris, un peu lassée, il veut tellement, je le sens, tout son corps qui réclame, ses yeux. Je dis ok.

On est dans sa chambre, je ne sens plus l'odeur que j'aimais tant, je lui dis tu sais, j'ai pas fait l'amour depuis longtemps, il me dit que je suis belle, de plus en plus belle, mes cheveux, il adore, mes seins, mes fesses, est-ce que je sais qu'il adore ?, oui Cat, je sais. Tout est passé vite, sur ma peau, sans brûlure, sans sensation, sans battement de coeur, sans mes émotions, étrangement.

Han ! Il est déjà minuit ?!, le coloc nous attend depuis deux heures, allez on y va, il ne veut pas descendre, il me tient, je me débas, il veut encore, il me dit je viendrais tous les 15 jours à Paris, et toi, tous les 15 jours à Lille, on s'arrêtera plus jamais de faire l'amour, il m'empeche de m'habiller, m'embrasse, veut ma langue tout le temps, tu devrais rester nue, tout le temps, ça serait mieux pour tout le monde, je ris, je suis fatiguée, t'es chiant, je me sens loin.

J'arrive à redescendre enfin, on mange, des pâtes, je meurs de faim, il fait nuit, j'ai mal au ventre soudain, très mal, je m'allonge dans le canapé, déjà 1h, je n'ai pas sommeil, Lio ne m'a pas appelé, je l'appelle, il est froid, il dit qu'on se verra demain oui, bon. Je suis coincée là, un peu. Cat veut qu'on retourne dans sa chambre. Attend un peu.

Dans le noir à nouveau, je n'ai plus mal au ventre, il est doux, près de moi, câlin, il veut que je dorme ici, m'enroule de ses bras, je me sens distante, seule, je ne me sens pas dans ses bras, il m'embrasse sans cesse, moi je lui pose des tas de questions. Il a été en couple pendant 2 mois, avec celle qu'il avait rencontré, ah c'est pour ça que tu es si câlin, peut-être, ça s'est mal fini, elle était un peu tarée, ah ok, je lui raconte ma volonté d'être seule maintenant, mon histoire avec mon coloc, mes mensonges à lui, le mal qu'il m'a fait, un peu, je lui dis tu avais raison, vaut mieux ne pas vivre de relation tiède, il est silencieux, y'avait que toi qui comptait vraiment, tu me fascinais, il rit, il me dit de me taire. Pourquoi ? Je dis ce que je pense, j'ai le droit. Mais j'ai pris du recul maintenant.

On refait l'amour, il m'offre ses mains, ses yeux, il n'a jamais été aussi câlin. Et pourtant, toujours aucun battement de coeur. Je reste Une.

Il est 3h du matin, on discute, je n'ai pas sommeil, je te pose trop de questions ?, non, tes questions sont toujours très pertinentes, tu es de plus en plus intelligente. Ses mots me semblent creux. Je ne trouve aucune réponse. Tout ça n'a aucun sens.

Tu pourrais vivre sans les femmes ? NON ! Il n'y a qu'avec elles que je me sente en sécurité. Je suis déçue. Il me dit c'est vrai que tu as changé.

On va sur Facebook, il me montre des photos, des mails, son intimité, sa vie, ses impressions, je lui parle de l'homme que j'aime bien, à Paris, celui qui a une copine, il veut voir des photos, il m'écoute, et puis je dis de toute façon, ça ne veut rien dire tout ça, ça n'est pas important. On reste silencieux.

Il est 5h du mat, le jour glisse par la fenêtre, je n'ai pas sommeil. Je pensais qu'il n'aurait pas voulu que je dorme avec lui. C'est moi qui veut partir. Je n'ai pas envie. Ca n'a pas de sens. Mon corps n'a pas besoin de lui.

Il est 5h30, je suis sur mes rollers. On s'est embrassé, il était heureux de me voir. Moi aussi. Il a dit je garde mes mains dans mes poches, sinon je vais pas te laisser partir. Je n'ai pas dit à bientôt. Lui non plus. Tant mieux. Je roule dans Lille, je suis seule, avec mes rollers, entière. J'essaye des rues que je n'avais jamais vu, je veux savoir, voir, réapprendre Lille. Mais je tombe toujours sur les mêmes boulevards, les mêmes places. Je m'arrête près d'une église, il se met à pleuvoir.

Je suis sous un porche. il est 7h du matin. J'ai froid un peu. presque pas. Pas assez.

Je suis à la Gare. Il est 8h. Dans le café, face aux trains, les yeux me piquent, je regarde un couple de filles s'embrasser, tenter de se souder. J'attends que les heures passent.

11h, je rejoins Lio, je prends le métro, je grelotte, l'air absente, je l'attends, recroquevillée contre un mur, il me sourit, il prend mes rollers, on monte dans sa voiture, comme avant, il m'emmène à l'appart, comme avant. On se pose dans le salon, sur les canapés. Il me file une couette pour que j'arrête de grelotter. Je lui souris.

On passe tout l'après-midi ensemble. On se fait à manger, on discute, on va au musée de Roubaix, je comate un peu devant les tableaux, je comate dans la voiture, on a l'air complice, je l'écoute me dire qu'il pense toujours à moi, je suis gênée, je redécouvre tout le mal que j'ai fait, le chantier que j'ai abandonné derrière moi, après avoir tout remué. Ca me conforte dans mon envie de rester seule, seule, le plus longtemps possible.

20h30, on fait une dernière balade dans Lille, à pied, on visite une église, on boit un verre.
J'ai la sensation de dire adieu à Lille. 

Il m'accompagne à mon rendez-vous de covoiturage, refuse de me faire la bise, encore, j'lui dis t'es chiant, il sourit, je m'en veux. Prend soin de toi, oui, ne t'inquiète pas, je prends soin de moi.

Je m'endors dans la voiture.
Le trajet passe incroyablement vite.

23h, je retrouve Paris. 
Mes rollers aux pieds, l'immensité de ma ville, les gens partout, les terrasses de café, les monuments, la Seine, le métro, mon quartier, ma rue, ma chambre, mes couvertures, ma douce solitude.

Je voudrais pouvoir dire que j'ai trouvé des réponses à mes questions abstraites, que tout semble clair et simple, mais non.
Rien n'a plus de sens.

Tout ce que je vois, ce sont les couches protectrices que j'ai collé sur ma peau, mon détachement, mon envie de vide, d'absence d'homme. Tous ces changements si rapide. Mon appaisement.

Et c'est mieux comme ça.

Bande son : Cocorosie, Bisounours

Ecrit par aphone
le Mercredi 17 Juin 2009
à 02:01



Commentaires :

  ninoutita
17-06-09
à 10:27

A part baiser, est-ce que Cat est intelligent ? C'est ce que je me suis demandée en lisant ton article. Finalement c'est peut-être tant mieux. S'il a besoin des femmes et pas de toi en particulier, autant qu'il ne prenne pas tant de place dans ta vie :)
En tout cas, j'ai hâte qu'on se voit en vrai ! éééh on pourra organiser une rencontre de jouebeurs... si on y arrive et si les jouebeurs existent toujours.

  aphone
17-06-09
à 11:14

Re:

Ouai, je sais pas trop ... Il n'est pas bête, mais beaucoup trop préocupé par les femmes, je pense ... ma déception a du se faire sentir dans mes lignes =)

S'il a besoin des femmes et pas de toi en particulier, autant qu'il ne prenne pas tant de place dans ta vie :)
---> Mais justement, je me demande réélement si on a besoin de quelqu'un en particulier ou juste d'une présence, si on aime une personne pour ce qu'elle est ou si on aime la personne juste pour ce qu'elle nous apporte, en fonction de nos besoins. J'pense que Cat a besoin de sécurité, chose qu'il ne trouve qu'au contact des femmes (généralement plus agées que lui)(je suis une exeption ^^), par rapport à sa mère, d'après ce qu'il m'a raconté d'elle et que je ne dévoilerais pas (je pars en psycho là, hum) Je me prends la tête !

Moi aussi j'ai trop hâte ! On ira faire un tour de vélib ? Les jouebeurs existent-ils toujours ? Ahaha, y'a interêt ;)

  MangakaDine
17-06-09
à 13:27

Re:

Hey, si rencontres jouebeurs il y a, pensez à moi! Moi je kiffe les jouebeurs! Et les rencontres! Et je surkiffe les deux combinés!

  ninoutita
17-06-09
à 15:35

Re:

Ce serait cool d'en faire une où je suis... LÀ ! Parce que j'avais pas pu venir à la première (et dernière?)


Hé d'ailleurs Aphone, tu me fais penser au film La fille du RER avec tes rollers :)

  aphone
17-06-09
à 22:13

Re:

Ouai toi tu connais peu de bloggeurs au final, alors que moi, sur les gens qui commentent ici, y'en a vraiment très peu que j'ai jamais vu !!

Tout à fait d'accord pour la fille du RER, c'est vrai que quand j'ai vu ce film je me suis vachement retrouvée dans ces balades en rollers (en espèrant que je sois moins tarée qu'elle quand même !)



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