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Les mots sans le son


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Non, je parle de l'écriture personnelle, de ce mouvement qui va de l'intérieur vers l'extérieur pour exprimer ce qui s'est imprimé en soi - écrire pour dire son expérience, ses rêves, écrire pour dire son désir, l'attraper dans le filet des mots comme un poisson gigotant.
Celle que vous croyez, de Camille Laurens
Overbookée

Jeudi soir : secret.

Sa mère monte souvent à l'étage.
Entre nous c'est normal, on partage la cuisine.

Sa mère est drôle.
Avec ses trois amour de chien qui ne la quittent jamais.

Sa mère aime beaucoup parler de la maison qu'elle est en train de construire.
Et c'est vous dire si j'en ai bouffé, des modèles de cheminées.
"Et celle-là, elle est pas mal non, t'aimes pas ?"

Sa mère adore me parler.
"Tu sais, je l'ai jamais dit à aucune copine de mon garçon, mais toi je t'aime beaucoup, tu as le regard droit".

Je ne me suis pas aussi bien entendu avec aucune de mes ex-belle-mères.

Ce jeudi soir, nous parlions, peut-être depuis 2h, j'ai oublié.

Je savais que Lio me cachait un secret d'enfance important.
J'avais insisté pour savoir, immaginant le pire, le voyant déjà violeur d'enfants.
"C'est une histoire de procès, mais j'veux pas t'en parler".

J'ai insisté, j'ai insisté, j'ai boudé, j'ai dormi sur le canapé, j'ai supplié, j'ai marchandé.
Rien à faire.

Et puis j'ai regardé tout au fond de ses yeux, ses yeux qui me suppliaient d'arrêter de le questionner.
Au fond de ses yeux, j'ai vu de la peur, de la douleur, du noir.

J'avais compris que c'était trop douloureux et qu'il fallait mieux ne pas insister.
J'avais compris qu'il n'étais pas l'agresseur mais l'agressé.

C'est sa mère qui m'a tout raconté, jeudi soir, dans la voiture.
J'ai eu envie de dégueuler tout mon corps par la fenêtre.

C'était pas déjà assez de vivre sans jamais avoir connu son père ?
C'était pas déjà assez d'avoir vu son beau-père mourir d'un cancer ?

Faut croire que la vie s'acharne.

On est allé le voir à Mercure, l'hotel où il travaille.
Je l'ai vu, quelques secondes.
Silencieusement.

"Surtout ne lui dis pas que je t'ai raconté, il m'en voudrait beaucoup".
J'aurais voulu me jeter dans ses bras, lui dire que je savais tout, et que j'allais tout faire pour le rendre heureux, pour qu'il ne souffre plus jamais.
J'ai rien dit, je l'ai embrassé, et je lui ai dit "à samedi soir", on s'est souri amoureusement.
Et il a continué d'aller et de venir, entre les fourchettes et les couteaux.

Sa mère m'a déposé au métro.
Je ne pensais qu'à cette histoire, le nez en l'air, l'air grave, le coeur lourd, et bien sûr qu'il ne faudra pas en parler, parce que ça va se savoir, et Lio n'aime pas quand ça se sait, Lio n'aime pas que je raconte des histoires sur les gens avec Ryne, il trouve ça nul, alors il va falloir se taire, tout garder en moi, ne même pas pouvoir lui en parler, à lui, alors comment je vais faire, je sais pas faire ça, je peux pas garder des trucs noirs dans l'coeur, ça fait faire des cauchemards, et tu sais que j'aime pas les films d'horreur, d'habitude je ferme les yeux, bordel à cul, et le train qui s'éloigne de lui doucement, mon ange, tu verras mon ange quand tu rentreras ce soir, tu verras que j'ai tout bien rangé la chambre et que je t'ai laissé un mot sur le lit, alors j'ai un soudain un sourire niais, de l'imaginer, fatigué mais heureux, voyant mon amour dans ces gestes quotidiens, et m'appelant pour me dire qu'il m'aime aussi.

Mais je ne pourrais pas oublier cette histoire.

Alors quand j'ai vu Ninette, j'lui ai tout raconté, forcèment.

Vendredi : hôpital.

Chatelet, RER A.

Papa m'attend sur un des sièges, comme d'habitude.
Je l'embrasse.

J'aime nos rapports car ils sont de mieux en mieux.
Je lui parle de ma futur mobylette, lui demande des conseils, lui parle de la fac, de mon appartement, de ma vie, de lui, de ses lampes, de tout.
De tout sauf de Lio, parce que lui, c'est mon secret.

On arrive chez Mamie, et papa prépare la voiture pour allez à l'hopital.
Je vais revoir mon grand-père.
Pour la deuxième fois, à l'hopital.

Mon père veut que je monte à l'avant, à côté de lui.
Parce que c'est mieux si je suis devant, et comme ça j'vais l'aider à faire marcher l'autoradio.
Ca me touche.

Litchie est dans mes cheveux.
Cette petit bète est adorable, elle reste des heures entières dans mes cheveux, sans bouger.
Même ma grand-mère l'aime bien.
C'est dire.

Papy est là.
Il va beaucoup mieux que la dernière fois, il parle bien, il chante, il est assis, il n'a pu les menottes, et puis il marche.
Mais toujours ce regard étrange qu'il me lance, qu'il n'avait jamais eu avant.

On se pose dans une sorte de petit salon, papa va chercher une tarte aux abricots pour papy.
Je lui parle de ma futur mobylette, de la fac, du permis.
Il a l'air heureux à des moments.
Ma grand-mère lui passe la main sur la joue.

Les heures passent et je me sens bien.
Allongée sur un lit vide, à côté d'eux, ma petite famille, la télé en fond sonore.
Papy croit même qu'on est à la maison.
On lui explique qu'il va rentrer bientôt, avec nous, que oui bien sûr ça sera papa qui va conduire, parce que lui, conduire, c'est dur maintenant.
Il se lève, lentement, difficilement, il fait un pas en avant et nous dit "bon on y va ? T'as les clefs de la voiture ?"
Et nous de lui expliquer que non, il ne rentre pas avec nous aujourd'hui.
Et ses yeux tristes, ses yeux tellement tristes que je les évite de toutes mes forces, parce que ça ne tiendrait qu'à moi, papy, il serait dans la voiture, avec nous.

On rentre alors, tristement.
Un peu.

Vivement qu'il rentre à la maison.

Métro.

Je vais rejoindre Georgia en bas de chez elle.
Toute heureuse de la regarder marcher vers moi.
Elle m'emmène dans un bar avec ses amis, et je me sens fatiguée mais je discute avec les gens, Litchie fait dodo dans sa petite cage, mais tout le monde veut la voir, ça me fait rire.
Je lui fais boire un peu de ma bière.

Un peu plus tard, j'me dis que je vais rentrer chez moi et dormir.
Et tant pis pour Milie.
Elle avait qu'à pas faire de baby sitting.

J'éteinds mon portable et je me dirige vers chez moi.
Et qui je croise dans la rue ?
Milie.
Eh ouai, loupé.

Toute bien habillée, l'air classe, elle m'emmène dans un autre bar.
Avec Vico.
Ca me fait bizarre, un peu.
L'impression d'être dans un autre monde qu'eux.
Elle prend la défense de mon ex, Th.
Comme à chaque fois.

Elle me dit que j'ai un ticket avec Gros Victor.
Gros Victor, le genre à ramasser toutes les chattes qui trainent.
Ca me fait rire, ce personnage.
Sans interet.

Je prends le Noctilien, comme hier soir.
Sauf que je me sens irritée, mal.

Un groupe de jeune m'agresse à coup de "oh t'as un rat il a quel age il s'appelle comment ?"
Je ne réponds pas.
"Moi aussi j'en ai, dis il a quel âge le tiens ?".
Je ne réponds pas.

Ils finissent par me lacher, mais ça n'est pas assez, je voudrais que tous le monde se taisent, que les bourrés arrêtent d'hurler, que les gens arrêtent de bousculer, qu'on me laisse une place assise, que le monde s'arrête de tourner, 30 secondes, s'il vous plait.

Chez moi, mur blanc, pièce vide, propre.
C'est ma dernière nuit ici.
C'est vide et c'est froid, je ne regrette pas, je ne suis pas triste, et j'ai hate de partir sans tourner la tête une seule fois.

Samedi : mariage.

Je dors peu, et puis le revéil sonne.
Ninette devait aller chercher une lampe avec moi le matin.
Elle m'envoie un texto à la dernière minute "j'ai un empechement, désolée, bisous".

Panique.
Elle devait m'emmener dans un magasin-super-avec-pleins-de-lampes-superbes-et-pas-cher.
Et elle me lache.

J'y vais seule.
Je fais tous les étages des halles de Chatelet.
Commence à desesperer.
Et puis tombe sur un super magasin avec lampes et bougeoirs sympas.
Bonheur.

Je fonce chez ma mère.
RER E.

Je rencontre son futur mari, assis sur le canapé géant acheté dans une brocante pour 3 fois rien.
Ma mère se mari aujourd'hui.
Ca pourrait être super émouvant, mais ça n'est qu'un mariage blanc.
Une histoire d'argent, et de nationnalité française.
Rien de plus.

Moi, ça me fait rire, comme une gosse.
Je vais assister à mon tout premier mariage.
Et ma mère se marie pour la première fois de sa vie, à 41 ans.

Ma mère enfile sa robe marocaine rouge et or devant moi.
Elle est toute exitée.
Elle met les chaussures qui vont avec, et le sac à main.

Mon petit frère joue avec son nouveau chaton.
Je mets Litchie dans les bras du chaton.
Elle se blotti dans sa fourrure.
Mais quand le chaton à ouvert sa bouche en direction de Litchie, j'ai déclaré qu'il était tant d'arrêter les présentations.

On va à la mairie.
Avec nous, toute la famille marocaine.
Je les embrasse un par un.
Ils sont cool.

Il y a le mariage.
Rapide.
Quelques mots, des photos, un peu de musique, et c'est du tout bon.
"On est marié".
Ca me parait tellement simple.
Tellement absurde.

Mais on se fait tous de grands sourires et on tappe dans nos mains joyeusement.
Ma mère semble toute émue.
Je crois qu'elle aurait bien aimé se marier pour de vrai une fois.
C'est le genre de truc qui lui aurait plus, que tout le monde la regarde, la félicite, la prenne en photo.

Un petit de 10 ans me dit qu'il est mon cousin.
Ca me fait rire.
Je n'avais jamais eu de cousin.

Mon petit blond cours partout avec mon appareil photo.

Ma mère est joyeuse.
Autant d'argent gagné si facilement.
Elle s'achète une bouteille de Wisky pour fêter sa nouvelle richesse.
Et elle boit, et elle parle avec le voisin, et elle s'invente une vie qu'elle n'a jamais eu, parce que ça fait mieux si on change deux trois trucs, on a pu rien à se repprocher, quand c'est jamais de notre faute.
Ca fait beau, un joli mensonge.
On y croit.

J'me mets à me sentir triste, de voir ma mère telle qu'elle est, et non pas comme je voudrais qu'elle soit vraiment.

Chaton dort dans mes bras, et Litchie dans ma nuque.
J'appelle Lio.
Lui dit "à tout à l'heure".

Et je pars pour la gare du Nord.
Je me dis que j'adore les gares, surtout la nuit, j'ignore pourquoi.

Lio n'est même pas en retard.
J'ai ses cadeaux dans mes gros sacs en plastique, je les mets dans le coffre.
On va chez Kournikova.

J'y retrouve ma Ryne.
Et les autres.
Que je commence à aimer de plus en plus.

Dans la soirée arrive Costa.
Je fonce prévenir Ryne.

Le cher Costa tient à me parler en privé.
Ah.

Il me demande pourquoi je l'agresse autant alors que je ne le connais même pas.
Vexée, je lui réponds que je ne l'ai pas agressé.
Il se trouve que je l'ai croisé dans les couloirs de la fac et que je suis allée lui parler comme si je le connaissais depuis 10 ans.
Il n'a pas trop réagit.
Certe, je conçois.

On s'explique comme 2 vieux bourrés et on finit par se dire que tout va bien, qu'il n'y a aucune raison de s'embrouiller ce soir, et on se sert la main.
Il me fait rire ce Costa.

J'ai de nombreuses discussions ratounesques avec de nombreuses personnes (ça créé des liens), je bois, j'embrasse Lio, et puis tout le monde part au Sand vers 1h, j'ai trop bu, je suis fatiguée, on rentre.

Dimanche : Anniversaire.

On a commencé la journée en buvant du champagne.
J'avais la gueule de bois de la vieille et une douleur à la vessie.
Mais attention, c'est l'anniversaire de Lio, alors déconnons pas.

Première surprise : L'homme et La Vilaine qui viennent au resto avec nous ce midi.
On se retrouve donc à 5 dans un petit restaurant chinois.

Je suis de bonne humeur.
Le courant passe de mieux en mieux avec L'homme et La Vilaine, on rigole bien.

On lui offre ses cadeaux.
Il est pourri gater s't'enfant.

Le resto met une musique d'ambiance en l'honneur de l'anniv de Lio.
Une musique du genre
(voix de gros loveur) "Eh oui aujourd'hui, c'est toi le roi, parce que c'est ton anniversaire"
On est tous mort de rire.
Dans le genre ils n'auraient pas pu faire mieux.

Nous buvons de l'alcool (ma foi délicieux) et je commence à ne pu voir clair.
J'ai un rire totalement ridicule et je comprends les blagues du mec de la table d'à côté 3h après.
J'suis vraiment heureuse de faire partie de cette petite famille.

On rentre à la maison.
Petite sieste, histoire de digérer l'alcool.
Et puis on repart faire un billard.
Plan stratégique pour qu'en l'absence de Lio, les invités se glissent chez sa mère.

On fait nos 3 petites partie de billard.
J'suis contente de voir que, l'air de rien, je m'améliore.
Et oui, je suis une quiche en pleine évolution.

Jus de tomate.

On rentre.
J'ai le stresse de voir comment il va réagir.
Il ne se doute de rien apparament.

On arrive devant la porte, sa mère ouvre la porte, elle nous dit "vous allez chercher des frites à la friterie ?"
Lio dit ok, qu'il a faim, ça tombe bien.
Là j'me demande pourquoi elle nous envoie chercher des frites, qu'est-ce qui ce passe ? C'était pas dans le programme.

Mais ça n'était qu'un prétexte pour faire rentrer Lio.
Et là, tout le monde qui attend sagement dans le salon.
Tellement mignoooooooon.

Et c'est reparti pour de l'alcool.
J'ai toujours ma gueule de bois.

A un moment, Lio va parler avec son ex.
Je sais que je lui ai pourtant demandé de venir, que tout était réglé, qu'on s'en voulait pas et qu'on allait même se faire la bise à l'anniv de Lio.
Mais j'avais bu (un peu trop) et ça faisait un bon bout de temps qu'ils étaient en train de parler tous les deux dehors.

J'ai craqué.
Trop naze.
Me suis mise à chialer lamentablement dans les toilettes.
Lio est venu me reconforter.
L'ex aussi.
J'me sentais toute conne.

J'suis sortie des toilettes, j'ai essuyé mes larmes et j'suis allée voir les gens.
J'voulais des calins et des bisous (je vous rappelle que j'étais bourrée) et puis une clope aussi pourquoi pas.
J'ai parlé avec l'ex, lui ai dit que c'était pas sa faute, que tout allait merveilleusement bien et patati patati.

J'm'amusais tellement bien, c'est vrai.
A écouter les conneries de Costa, de Ryne, à les regarder parler, à faire chier le mec de l'ex, regarder Lio jouer de la guitare, faire des commentaires tout pourri.

On a bu dans la giraffe que l'ex a offert à Lio.
J'aimais bien boire là dedans, ça faisait des vagues de bières qui fonçaient droit sur moi.
Et puis je crois que les vagues m'ont recouverte.
Le monde a disparu.

J'ai fermé les yeux.

Lio était heureux.
C'était tout c'qui comptait.

Ecrit par aphone
le Lundi 01 Octobre 2007
à 23:53



Commentaires :

  ryne
02-10-07
à 21:25

Oh ben non chérie, c'est Georgette son surnom, pas la vilaine! J'me sens presque coupable là....

Enfin bon, je la trouve bien sympathique cette jeune donzelle, histoire de me répéter encore une fois (genre je dois être amoureuse ou quelque chose comme ça).

Rend le heureux ton Lio va, t'es plûtot douée pour ça.

A demain ;)


  aphone
02-10-07
à 22:39

Re:

Ah oui merde t'as raison, c'est Georgette, pas La Vilaine (en plus on l'aime bien alors bon, on s'en fout du physique, et puis elle est pas mal roulée)

J'suis douée tu parles, j'suis super chieuse quand j'veux.

Ouai merci pour le plateau repas de c'midi ^^

=))

  Perfect-plank
03-10-07
à 19:40



Je reviens dans ma vie

Je réintegre ma ville comme on enfile un vêtement qu’on adore, oublié dans un placard quelques temps

Ces vacances

Un seul mot

C’était long

 
Mon chat est mort

Il avait une insuffisance pulmonaire depuis tout bébé apparemment

 
Je vais en prendre un autre

Je le récupère ce week end ou le week end prochain, il sera tout petit tout noir avec des grands poils… trop migon

 

Je suis allée en croatie avec joel

C’était bien

 
Je ne l’ai pas revu apres pendant un mois entier

Je suis allée chez lui le week end dernier

C’était… bizarre

Je ne sais pas si je l’aime encore

Je ne sais pas si je l’aime vraiment

 
J’ai la sensation qu’il vit de façon étriquée

Il veut sauver le monde mais pas les personnes qui lui sont vraiment proches

Il critique tous ceux qui ont un style qui n’est pas le sien ; à sa manière il est tout aussi ridicule qu’eux, avec ses fringues de grimpeur qui se la pète à jongler partout

 
Je veux vivre un rêve, une folie, une utopie, un absolu

Il ne vit que de rationnel et surtout ne t’avise pas de te mettre toute habillée sous la couette

Et puis merde il peut pas s’habiller un peu classe de temps en temps ! faire un minimum d’efforts…

 
Mon ordi fixe ne marchait plus, et j’ai rencontré un mec hier soir au badminton qui me l’a réparé ce matin… tout le monde croit qu’il me drague mais moi je crois à la gentillesse sans arriere pensée. Et puis on devait aller voir the wall des pink floyd ensemble en fin d’aprem mais je n’ai pas pu.

 
Hier soir grosse soirée : apres le badminton deux potes m’appellent pour me dire de les rejoindre dans un bar, bilan j’ai pas mangé et beaucoup bu… dans ce bar où il n’y avait que des gens de l’école d’archi (bizarrement…)

 
J’aimerais rencontrer un fou qui aurait des étoiles dans les yeux, de la classe, du charisme. Je veux vibrer à l’envie qu’il ferait naitre en moi, et me sentir belle dans ses yeux. Je veux des soirées aux chandelles et des apéros sexys un verre de rouge à la main. Je veux de la vie, juste de la vraie vie.


  aphone
03-10-07
à 22:04

Re:

Mhhh, du vin, tu me donnes envie.

Ca me fait plaisir quand tu réponds (j'prends ça comme une réponse à mon mail) même si c'est quand je m'y attends le moins !

Pauvre chaton ... Je compatie, ma ratoune est morte, tuée dans une porte.
=/

Oui, pour Joel, tu dois choisir un mec qui s'occupe bien de toi, tout de même. C'est chouette d'avoir des grandes idées, mais je me rends compte que, au final, ce ne sont que des idées.

Ca me fait vraiment plaisir ton petit (grand) mot, dis dis, tu vas pas refaire un blog ?

Gros pleins de bisous



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