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Les mots sans le son


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Non, je parle de l'écriture personnelle, de ce mouvement qui va de l'intérieur vers l'extérieur pour exprimer ce qui s'est imprimé en soi - écrire pour dire son expérience, ses rêves, écrire pour dire son désir, l'attraper dans le filet des mots comme un poisson gigotant.
Celle que vous croyez, de Camille Laurens
Décembre

Ca n'a pas l'air d'aller fort
Raconte

Ca va passer il suffit d'attendre

Tu m'inquiètes franchement passe à la maison si ça va pas tu sais que tu es la bienvenue

Attendre encore un peu

Laissez-vous aimer mademoiselle laissez-vous chouchouter par vos amis

Ca ne marche pas je me sens si seule peu importe avec qui je sois
Toujours aussi seule

Votre mère est folle
Votre mère est nocive
Votre mère est dangereuse
Votre mère est toxique


C'est étrange à quel point parfois je ne sais absolument pas de quoi j'ai envie
Le néant le vide
Par contre j'adore les belles voix, tu aimes l'opéra ?

Dis donc qu'est-ce que t'es sensible toi en fait

Je me sens folle au fond
Y'a quelque chose qui me ronge
Le vide

J'en ai rencontré quelques unes
Des nanas
Des nanas intellos, qui parlaient, qui se racontaient
Qui étaient hystéro, folles
Toi, tu dégages quelque chose de calme
Même si c'est en apparence
T'as l'air super posée
Au milieu de cette folie
Ces nanas, j'avais qu'une envie c'est qu'elles partent
Que je sois seul
Toi, t'es pas folle
Peut-être parce que t'en as bavé
C'est plus dur pour toi
Parce que tu prends, tu absorbes
Et je sais pas où tu recraches
La haine et l'agressivité

Pourquoi c'est si dur ?

En fait c'est de là que te vient cette étrange maturité
On a l'impression que tu as fait une guerre

Tu verras
Un jour je couperai complètement les ponts avec toi
Ca me fera mal
Mais je le ferai

Laissez-vous aimer mademoiselle laissez-vous chouchouter par ceux qui vous aiment

J'y arrive pas J'Y ARRIVE PAS

Faut apprendre à pleurer vous savez vous êtes obligée
Laissez-vous aller

Pourquoi

Pour toi le bien et le mal n'existe pas c'est comme la gauche et la droite
Tu n'fais pas la différence
C'est chouette on ne se sent pas jugé par toi c'est reposant

Dis est-ce que tu pourrais me dire quelque chose de gentil ? J'me sens si mal

J'ai des idées noires
Tu sais c'que ça veut dire ?

Non

Si tu fais vraiment une dépression prend des cachets merde j'en ai marre de pas te voir sors de ton trou décroche quand j'appelle t'es conne tu sais tu vas finir toute seule les gens vont se lasser d'attendre

Quand j'ai bu je vois le vide je me penche j'ai envie
J'ai tellement peur de la vie
De ce qui m'attend encore

J'ai vu les arbres
J'ai vu les feuilles du saules danser dans la brise
J'ai vu un homme tué par son meilleur ami
Et des vies gachées avant d'être finies
J'ai vu ce que j'étais et je sais ce que je serai
Il n'y a plus rien à voir
J'ai déjà tout vu*


La vie ne fait que commencer pour nous, j'y crois tu sais on est jeune c'est derrière tout ça le bonheur il est devant

J'ai toujours remarqué qu'on se comprenait je savais pas pourquoi c'est drôle
Et t'inquiètes que nos vies ne font que commencer

(*I've seen it all, Björk)

...

"Dès l'instant qu'une chose existe dans le cerveau, cela signifie qu'elle existe vraiment. Par conséquent, on peut en parler à ceux qui existent réellement. Ou bien vivre soi-même dans un autre monde sans rien dire, s'enfermer, se claquemurer, ne rien y laisser pénétrer"

La rue, nuit, je rentre de la fac, il fait doux, et les lumières de la ville qui scintillent, au fond de ma poche, mon téléphone, et ses messages à elle dedans, j'ai peur de lire, tu ne devrais même pas l'appeler maman, tu devrais lui donner le nom d'un personnage horrible, concentre-toi, trouve-lui un autre nom, j'avais ris, oui mais, il ne suffit pas de renommer les gens pour qu'ils soient autres, ça reste elle, avec ses messages toujours trop durs, et mon coeur qui se serre avant même de les ouvrir, parce que je sais bien, je sais qu'elle ne fait que détruire, c'est juste terriblement difficile à admettre, maman, pourquoi tu es comme tu es, je renifle, des larmes roulent sur mes joues, la nuit est douce, c'est déjà ça, et je me sens terriblement seule face à la douleur, mais tu vois ce qui est dur en fait, c'est qu'avant je pleurais toute seule sans savoir pourquoi, sans raison apparente, aujourd'hui je pleure toujours, mais je sais.

3h du matin, mon lit, je bouge sans cesse, haletante, coeur qui bat fort, j'ai mal, et pourquoi je n'arrive pas à dormir hein, et pourquoi c'est si dur d'éteindre son cerveau pour quelques heures, j'ai pourtant fait tout ce qu'il fallait, du silence, une couette, une peluche, du sommeil, du noir, pourquoi tu refuses de m'emmener, pourquoi tu me laisses accrochée à ma vie, pourquoi c'est si dur d'être soi, et j'entremêle des mots à mes larmes, je ne me supporte plus, ces mots me font peur, pourtant ils sont là, dans ma tête, avec tous les autres, ils existent, j'ai peur.

Je suis dans la salle de bain, sous la douche, et l'eau coule sur mon visage, chaude et enveloppante, je n'ai pas bien dormi, et je repense à mon rêve, encore un cauchemar, j'essaye de le reformuler, pour moi, pour les murs, pour m'en débarrasser, je le raconte à demi-mots, mais trop d'émotions, je sens mon coeur qui se serre, ma gorge qui se noue, douleur, eau salée qui sort de mes yeux, je le revois nêtement, lui, je murmure son prénom au creux de l'eau, le prénom de l'absence, mon petit frère, il a dix ans, depuis dix jours, et quatre mois loin de lui, et je revois nos dernières images, tu jures que tu reviens vite hein, on se voit dans dix jours, promis hein, je fais oui avec la tête, il ne veut pas me lacher, je promets, il me lache doucement, pourquoi il ne m'a pas demandé de cracher, il me regarde partir, je marche en arrière pour lui sourire, ses yeux sont tristes, est-ce qu'il sait que je risque de ne pas revenir, est-ce qu'il savait qu'il ne s'était pas trompé, puisque je ne suis pas revenue, puisque ça fait quatre mois que je n'ai pas senti ses longs cheveux blonds sous mes doigts, sa petite tête contre mon coeur, je le sais, je le sais, et pourtant je suis toujours là.

Rues, il fait nuit, je n'ai pas mis mes gants, il fait doux, je me laisse porter par mes pas, comment tu fais pour aimer marcher comme ça, je n'en sais rien, c'est facile, je marche c'est rassurant, et je regarde tous ces gens autour de moi, c'est samedi soir, c'est Paris, c'est l'alcool et le bruit, ce refrain au bout de chaque semaine, je ne ressens rien, ni tristesse, ni joie, que font mes amis à cette heure-ci, pourquoi je ne les rejoins pas, pourquoi je m'enferme dans cette bulle de solitude, téléphone éteint au fond de ma poche, pourquoi j'ai changé si soudainement, pourquoi c'est si dur d'être simplement soi, je n'ai pas les réponses, mais je n'ai plus peur, pas ce soir, et j'avance c'est certain, je dois arrêter d'être triste, j'ai envie d'être heureuse, j'ai envie d'être vivante, penser à toutes ces choses que j'aime, c'est ce qu'elle disait Maria, penser aux choses que l'on aime, j'aime la pluie, j'aime les vibrations des voix, j'aime ... je ne sais plus... et j'ai rejoins l'obscurité de ma chambre.

....


Tu as mangé ?

J'ai passé le week end chez le dessinateur, c'est mon nouvel amant.
Ce que j'aime le plus c'est que je m'oublie un peu quand je suis avec lui.
Il ne me connait pas, il ne me demande pas pourquoi j'ai l'air triste.
D'ailleurs je ne suis pas triste.
Il m'aide à travailler, il m'aide à oublier, je n'ai plus l'angoisse.
Dans son grand appart, il dessine sur son bureau, je révise dans le lit, on met du jazz, il joue du piano, j'adore l'écouter c'est fou les vibrations de son piano ça mouille les yeux, je lui souris, il est tellement fin, il fait chauffer du vin rouge à la canelle et ça sent bon partout, on mange dans l'obscurité, juste avec une bougie, on rit, on se dit qu'on est prêt à vivre comme autrefois, quand y'avait pas l'éléctricité, qu'on fera du vin nous même et qu'on mangera des pommes de terre, je pleure de rire, il me serre dans ses bras, sous la couette, il me serre toujours fort, il a toujours froid, et moi j'ai toujours envie de faire l'amour, je n'arrive jamais à m'endormir, j'ai encore fait un cauchemar joue du piano, il me fait couler un bain chaud, il prépare du lait et de la confiture, je chantonne sous l'eau brûlante, je songe que ça fait deux nuits que je suis là, trois jours que je n'ai pas mis le nez dehors, il faut partir maintenant, retourner à ma vie, et mon coeur qui se serre, je suis triste à nouveau, le froid qui me griffe le visage, je voudrais bien retourner sur son île déserte, et je marche vite, le nez dans l'écharpe, je renifle.

...

Au resto universaire, je mange avec ma cop de cours, elle aussi je l'aime, c'est reposant, elle ne me connait pas trop.
Et on parle de linguistique, ça j'adore, la linguistique, oui, penser à la linguistique quand ça ne va (post it).
J'arrive en retard, elle m'a gardé une place à côté d'elle, "pourquoi t'es en retard, t'as cours avant ?"
"Non, je vais voir mon psy"
"Ah"

"Et pourquoi, si c'est pas indiscret ?"

C'est drôle, j'ai un copine qui m'a demandé pourquoi je venais là, mais quand on me pose la question, c'est dur de répondre, je sais plus, au début j'étais venue pour un problème, et je suis ressortie avec pleins de problèmes, c'est drôle en fait, enfin moi ça me fait rire au fond.

"Parce que j'ai des soucis avec ma famille. On en parlera plus tard si tu veux", je lui souris pour la convaincre.

J'ai encore les mains qui tremblent, il m'a encore tué, à peine assise, les larmes qui montent et chutent vers le sol, "j'suis désolée, j'ai pourtant rien dit encore !"
"Oui, mais vous pensez beaucoup en tout cas"

Elle me sourit, elle me laisse tranquille avec les questions.
C'est drôle, cette fille, à force de la voir je m'attache, et quand je la vois, j'ai le sourire qui s'ouvre comme un éventail, et mon coeur qui se réchauffe, et j'lui écris souvent des p'tits textos pour savoir si elle va bien, elle est gentille, elle est toujours gentille.
Elle m'aide beaucoup.

"Alors au fait, t'as réussi à finir tes devoirs ?"
"Oui, grace au dessinateur, et en plus j'ai eu des bonnes notes, et on est en vacances maintenant, je suis tellement contente, si tu savais combien ça me soulage d'avoir tout rendu !"
Elle me sourit.
Douce.

...

Je t'embrasse tu m'embrasses je t'embrasse tu m'embrasses ... et j'écris ces mots à l'encre sur ma peau, lentement, je murmure les sons un à un, doucement, et c'est Cat qui disait toujours ça, "je t'embrasse ma puce", comme une caresse, et je lui répondais, avec ces mots nouveaux pour moi, je t'embrasse mon ange, et je me demande bien où j'en suis maintenant, de ce nous, ai-je encore envie qu'il m'embrasse, puisque rien ne dure, inévitablement, il me rendait folle oui, il m'a rendu triste aussi, il a marqué ma vie, il a gravé son nom en bas de certaines phrases, ça ne sera plus jamais comme avant oui, il a pris place dans mes souvenirs, indélébile mais invisible pourtant, et je sens qu'il quitte mon coeur à présent, son image, de plus en plus petite, et je sens qu'il ne me fait plus autant de vibrations, je sens qu'il ne sera bientôt plus qu'un souvenir, loin de mes pensées, peut-être, peut-être pas, peut-être que c'est simplement la distance, victorieuse distance, on ne peut pas vraiment aimer à 230 km, on n'aime que le souvenir, et si ce souvenir n'était plus que le papier peint d'un souvenir suivant, et si je n'allais pas le rejoindre comme je lui avais promis, j'ai envie de te voir avant Noël, j'avais répondu moi aussi, mais, peut-être que j'avais répondu trop vite.

Je ne peux pas continuer à me disperser comme ça, c'est déjà suffisament compliqué, et puis il y a le dessinateur maintenant, lui aussi il me dit je t'embrasse, et c'est doux aussi, comme son odeur, comme ses cheveux que je caresse avec mes doigts, comme sa peau blanche et son ventre si fin, je ne peux pas continuer à me disperser, je ne veux pas, je reste Cat, je reste à Paris, je ne peux pas.

...

Et puis c'est Noël, déjà, et je n'ai pas trop pesté contre les guirlandes dans le hall de l'immeuble, ni contre les éclairages lumineux dans la ville, non, pour une fois, j'étais calme, j'avais décidé d'être heureuse à Noël.

Regarder ma voiture pleine de neige, rire parce que je la fais tomber à l'intérieur en ouvrant les vitres, stupide, fou rire dans mon écharpe jaune, les mains dans les gants, la neige légère que je balaye avec, le silence, les flocons qui tombent sur le parebrise, et puis la neige toujours, sous mes pas, belle, ça scintille, le sol est blanc, à la sortie du ciné avec mon meilleur ami, le soir en rentrant du bar aussi, c'est blanc, c'est joli, ça ne m'émeut pas assez, mais faut avouer, j'aime bien la neige.

Acheter des livres pour ma grand-mère, des histoires d'amour avec des happy end, elle adore ça, les feux de l'amour la gloire et la beauté, et pour mon papa, du chocolat, plein de chocolat, mhhhhh, je sais qu'il aimera ça.

Allez faire les courses un jour avant avec mamie, conduire la voiture, l'aider à porter, l'aider à mettre la table, couper le pain, entendre ses mots rassurants "elle t'a encore écrit ta mère ? pffffff, mais qu'elle te laisse tranquille, elle te dit quoi encore ? ooooh mais c'est pas possible d'être aussi emmerdeuse !", je ris, émue un peu quand-même, j'oublie les textos, on regarde My Fair Lady, j'adore, mon coeur qui s'ouvre, chaud, Papa qui va pas tarder, papa qui m'appelle

- Aphone, j'suis en panne
- Où ça ?
- Près de la gare, au deuxième rond point en venant de chez Mamie tu sais
- Ok j'arrive


Ca a toujours été simple nous deux, étrangement, peu de mots, toujours là l'un pour l'autre, je ris, je conduis sous la pluie, il monte dans la G
olf, jette des paquets sur la banquette arrière, "le père noël est passé !", je souris, mais les mots ne sortent pas, je voudrais en dire des choses, que je l'aime, que je suis heureuse qu'il ne lui soit rien arrivé de grave, je dis "Mamie fait cuire un gros poulet !" il se frotte les mains, je ris, et puis je dis "y'a une assistante sociale qui m'a contacté", pourquoi ? Pour ta mère ? Je souris, oui, pas besoin de lui expliquer, j'avais juste besoin qu'il sache, qu'on en parle plus, il dit "ta mère c'est un vrai dragon, elle est terrible tu sais !", je ris, je l'imagine avec une armure de chevalier face à elle, lanceuse de flamme, c'est drôle vu comme ça.

Et puis on a mangé le gros poulet, et tout le reste aussi, on a fini les bouteilles, on s'est offert nos cadeaux, c'était simple, juste tous les trois, mais c'est déjà beaucoup, c'est tout ce que j'ai de plus cher, ma famille, ceux qui me font du bien et me protègent, et au matin, j'ai entendu leur voix qui murmuraient dans la cuisine, calmement, j'ai frotté mes yeux et mon premier mot ça a été "Papa ?", ça faisait des années, j'ai eu l'impression d'avoir à nouveau 5 ans, et Papa qui vient dans ma chambre quand je l'appelle, et qui me dit "oui ma p'tite poupée ?", merde, j'ai 21 ans, c'est loin pourtant, mais pour le 25 décembre, Papa est venu me voir dans mon lit, il a dit "oui ma chérie ?" et c'était comme avant.

Alors oui, je crois bien que c'était le plus chouette noël de toute ma vie.
Parce que j'ai laissé tomber mes espoirs d'une famille unie, d'une mère différente, d'une table pleine de monde.
Parce que j'ai juste gardé le meilleur, le réel, le disponible.
Leur amour.

Je sais bien que je suis triste en ce moment et que j'écris des choses assez sombres, je m'en excuse, ça me fait du bien d'écrire, et j'ai confiance, ça va passer =)

Non je n'ai pas tout vu.
Y'a la vie devant encore.
J'y crois.

Ecrit par aphone
le Mercredi 23 Décembre 2009
à 19:12



Commentaires :

  Mamzelle
26-12-09
à 19:56

Drôle, on s'y retrouve (toi chez moi et moi chez toi).
Mais y'a de l'évolution, ça se sent, des questions. Et s'il y a des questions, c'est aussi parce que tu te rends compte d'avantage du blanc et du noir...
Et puis on a tous des moments où ça va pas fort, faut juste les accepter, dédramatiser et attendre que ça passe. C'est ça que visiblement, tu fais.
Et dans quelques temps, tu seras heureuse de certains moments.
Au moins c'est clair, on peut pas faire pire, alors les beaux jours arrivent :)

  aphone
27-12-09
à 15:59

Re:

Oui, je me retrouve chez toi c'est certain =)
Ca m'rassure un peu que tu trouves qu'il y ait une évolution, pour moi c'est un peu confus vu que je suis dedans, j'ai du mal à prendre suffisament de recul pour voir. J'vois que j'sors toujours pas retrouver mes amis, mais j'fais moins de cauchemars, et je suis un peu moins triste, j'espère que ça va continuer dans cette voie !
Et pour toi aussi je l'espère ! Ca m'encourage quand j'vois que tu vas un peu mieux =)
Et si j'peux te réconforter, j'te le re-re-re-re-dis =p je suis làààààààà !
=)) Merci

  Lili A.Simon
27-12-09
à 03:46

Meuf.
Rallume ton portable et viens me voir !
C't'un ordre. Sinon j'écris plus.

  aphone
27-12-09
à 16:06

Re:

T'es ouf ! Après l'article que t'as pondu pour Noël ? Naan tu peux pas m'faire ça !
Bon, j'vais essayer j'te promets, mais j'te jure c'est la lutte ! Bon, t'fais un truc ce soir ?

  passionnee-par-les-reves
27-12-09
à 12:12

Il y a cela "Quand j'ai bu je vois le vide je me penche j'ai envie" et "la nuit es douce c'est déjà ca". La première partie est poignante, tout est beau malgré...

  aphone
27-12-09
à 16:09

Re:

... Malgré la tristesse ?

Merci !


  passionnee-par-les-reves
27-12-09
à 16:11

Re:

malgré la tristesse.
C'est sans doute ça qui fait que ça rend ce que c'est...

  aphone
27-12-09
à 18:29

Re:

J'espère que je te déprime pas !



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