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J'y suis.
Ca y est.
J'ai enfin atterri.
Poser mes valises, souffler 5 minutes, ralentir la machine.
Première nuit dans mon nouveau chez moi.
Première semaine maintenant.
Trop d'émotions ces derniers temps, des histoires, beaucoup d'histoires, mais ça vous dérange pas vous, vous êtes comme moi, vous aimez bien les histoires ?
Nan parce que ça tombe bien.
J'en ai pleins.
Retour en arrière.
1er août.
Vendredi soir.
On marche côte à côte dans les rues de Fives.
Sourires en banane.
Je traîne ma mobylette par le guidon, parce qu'elle remarche enfin. Je ne la quitte plus.
Ryne se marre.
Elle me dit "tu vas voir, là bas y'a un mec, tout à fait ton genre".
Je suis intriguée, forcément.
Sonnette.
Un type nous ouvre.
Me regarde avec mon guidon de mob dans les mains, me dit "tu veux qu'on la mette là, derrière la grille ? Ca serait mieux pour toi, peut-être ?"
Je souris.
J'allais justement lui demander, si c'était possible, de la mettre là.
Un mec saute par une fenêtre pour m'ouvrir le grillage.
Sympa tes potes Moon. (Moon : Ryne).
Eux, ce sont ses nouveaux potes qu'elle a rencontrés à son boulot.
Petite soirée en l'occasion du départ d'un des collègues.
Je suis heureuse.
Qui je connais ? Personne.
J'aime me dire que je vais peut-être faire de nouvelles rencontres.
On est une dizaine, assis en rond sur des canap'.
Je demande "il est où, le mec qui-est-tout-a-fait-mon-genre ?"
Moon me le montre discrètement.
C'est celui qui nous a ouvert.
Vi, il a l'air sympa.
La soirée s'écoule.
Je veux savoir si Moon a raison, je veux savoir si ce mec est tout à fait mon genre.
Curiosité.
Alors je lui parle, je vais vers lui, je lui fais des blagues.
Il est plus âgé que nous tous, il a 30 ans.
Je ne lui demande pas ce qu'il fait dans la vie.
Faudrait pas commencer par des banalités.
Il bouge sans cesse, ressert les verres, fait des cocktails en cuisine, va chercher ceci, revient avec cela.
Moon m'avait prévenu : "il est très prévenant".
Il est assis, à côté de moi. Il a capté mon regard, enfin. Je crois qu'on se rapproche.
Physiquement.
Mentalement.
Beaucoup de points communs.
Il veut me resservir du vin rouge, mais je conduis.
J'accepte ses pétards. Comme si c'était mieux.
Je propose de lui en rouler un, il est charmé.
Je tiens une guitare dans les mains, il me dit "tu ferais une superbe rock star".
Il me dit que j'ai le sens du rythme, qu'il est ravi que Moon m'a amené à la soirée, qu'il est heureux de me rencontrer.
On ne s'arrête plus de bavarder.
Il prend mon email.
J'ai du mal à retenir son prénom.
Etrange prénom.
Je dis qu'on va y aller, que Lio m'attend, hein Moon, on décolle ?
On décolle.
Il nous raccompagne devant la porte.
Là il me dit "bon bah bonne nuit !"
Son corps se rapproche de moi à tout allure, sa bouche effleure la mienne.
Euh, je suis censée faire quoi là ?
MOON ???
Je reste plantée là, sans bouger.
Il me fait basculer dans ses bras, me serre contre lui.
Je le serre aussi, je ris.
Trop fumé.
Il fait un pas en arrière, essaie à nouveau de m'embrasser, plus calmement, d'une façon très étrange.
Je détourne la tête.
Il dit "tu veux pas ? Ok tant pis ! Tu veux conduire la voiture de mon coloc' ? Pour réviser ton permis !"
Je fais oui de la tête.
Je suis défoncée, côté conducteur.
"Euh faut que t'enlèves le frein à main, c'est mieux, attend j'le fais c'est bon t'embête pas".
"Vaudrait mieux que tu roules à droite, t'es en contresens là, on sait jamais".
"Mais tu conduis super bien, si si j't'assure, c'est sûr, tu vas l'avoir ton permis !"
Je suis morte de rire.
On s'en va, Moon derrière moi sur la mob.
Je plane.
Fou rire sur mon deux-roues, au milieu de la nuit.
Quand je rentre, je dis à Lio "y'a un type qui a essayé de m'embrasser, mais je l'ai repoussé".
Il me sourit.
J'y croyais encore.
C'était la dernière fois que j'y croyais encore.
Samedi.
Je guette mon MSN.
Est-ce qu'il va me rajouter, après mon rejet d'hier ?
Oui.
C'est lui.
J'accepte.
J'attends un peu.
Rien.
Bon.
Je risque un salut !.
Il répond.
On discute.
A la fin il dit quoi qu'il en soit, une dernière chose, assez brutale sans doute, et peu romantique, mais tu m'as vite plu et j'ai envie de toi.
Je souris.
Je prends de tes news très vite.
Je t'embrasse.
Mardi.
Je suis pieds nus face à la boite aux lettres.
L'enveloppe dans les mains.
Je décachette, vite.
Mes yeux qui ne savent pas où aller.
C'est écrit où ???
Ah, ça y est, c'est là.
Je jubile.
Je l'ai.
J'ai mon permis.
J'ai mon permis !
J'envoie un texto général à tout mon répertoire.
Sauf à lui.
J'hésite.
Je lui dis ?
Il m'a fait conduire l'autre jour.
Il y pense tu crois ?
Je lui envoie un texto.
Il me dit "faut fêter ça, du champagne, ça te dit ? Tu passes à la maison ?"
Passer à la maison.
Il a envie de moi.
J'ai envie de lui.
Passer à la maison ...
J'y vais ?
Il n'a pas l'air de savoir bien embrasser.
Je suis curieuse.
Trop curieuse.
L'embrasser, pour être sûre qu'il embrasse mal.
Oui voilà, c'est ça.
Hum.
Je me fais belle.
Je m'épile.
Wow !
Qu'est-ce que je fais là !?
OH APHONE WAKE UP !
Tu vas pas coucher avec lui quand-même, volontairement, et sobre en plus !?
Qu'est-ce que tu fais ?
Merde.
Lio est content pour mon permis.
Mais il ne me propose pas de champagne.
"Ca te dirait qu'on aille voir 2 potes à moi ce soir ?"
Je pense "pffff".
Je pense aux bulles.
Je refuse son invit'.
Je me sauve.
Je cours.
Dans la gueule du loup.
Je cours dans la gueule du loup, remuée par l'excitation.
Je ne tiens pas en place.
Respiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire.
J'ai retrouvé où c'était.
Sonnette.
Il ouvre.
Je baisse les yeux.
J'esquive son corps, direction le salon.
Bonjour au coloc'.
Il sort le champagne.
Me ressert plusieurs fois.
Ca y est, je ne suis plus sobre.
Je peux coucher avec lui maintenant logiquement hein, ça sera pas ma faute hein ?
Hum.
Il dit au coloc "tu peux aller chercher une deuxième bouteille ?", lui donne un billet.
Le coloc s'en va.
On est seul, sur ce canapé.
J'ai peur.
Le loup est tout près, il s'immobilise.
Il se tait.
S'approche doucement.
Son visage face au mien.
Immobile 1 seconde.
J'entrouvre les lèvres.
Trop tard.
Il les frôle.
Je ferme les yeux.
On joue à ne presque pas se toucher.
Se frôler.
Sans jamais se souder.
Excitant.
Trop excitant.
Il brise le silence "Wahou, tu le fais presque mieux que moi !"
Je rougis.
Il dit qu'il a mal à la nuque, je saute sur l'occasion pour lui proposer un massage.
Ne plus être en contact avec sa bouche, j'ai trop peur.
Je suis trop stressée.
Il aime mon massage.
Mais m'interrompt.
Se retourne.
M'embrasse à nouveau.
Sans jamais m'embrasser vraiment.
Sensuellement.
J'aime.
Je me laisse aller.
Les bulles me chatouillent les pensées.
On monte.
J'hésite encore.
Il n'est pas trop tard.
Ne pas le faire.
Choisir Lio, rester avec Lio, ne pas céder.
Je cède.
Fin de l'acte.
Tombé du rideau.
Et après ?
Les coups de téléphone de Lio pour savoir où je suis.
Ma honte, ma fuite, mon refus de réfléchir.
Je ne décroche pas.
L'instant présent est rempli de champagne.
Je ris, je fume, je bois, je jouis.
Nos deux corps en fusion, électriques, comme faits pour se retrouver là.
Des heures.
Tu dors avec moi hein ?
Mercredi 6 août
Il ne faut pas qu'il sache.
Cacher les indices, jouer l'innocente, se défiler.
Mais il sait, il devine, il sent.
Demain, c'est nos 13 mois.
On fait quoi ?
Je romps. Il rompt. Le jour de nos 13 mois.
Il pleure.
J'ai honte. Mal.
Je suis déjà ailleurs.
Vendredi.
Je l'ai revu.
3 fois.
Une nuit.
Nos corps. Ses mains. Son odeur. Ses cheveux. Ses lunettes. Sa peau. Sa langue. Sa queue. Ses fesses. Son ventre. Sa voix.
Merde. Qu'est-ce qui se passe ? Je m'attache.
Moi qui brayait des "j'en ai marre des hommes, des couples, des unions qui foirent !".
Je m'attache.
Comme un vulgaire être humain.
Qu'est-ce que je peux être décevante.
Je pars demain.
Pour un mois.
Loin de Lio.
Loin de Lui.
Loin loin loin.
J'ai le cœur qui voudrait exploser, hurler, comprendre, mourir, parler, s'enfuir.
Comme une gosse hystérique, pleurant qu'elle veut ouvrir son cadeau avant Noël.
Je me déteste, je ne contrôle rien.
Je sanglote. Lio que j'ai quitté. C'est dur, voir qu'on peut tout effacer si vite. Comme les autres.
Et Lui, ses baisers qu'il m'envoie du bout des doigts, ses mots qu'il prononce à demi voix, ce nous qui meurt prématurément.
Les 2000 Km que je vais parcourir demain.
Je marche dans les rues de Paris.
J'écris dans un carnet.
J'écris jusqu'à l'apaisement.
Sans cesse. Tous les jours. Plusieurs fois par jours.
J'écris pour ne pas l'appeler, pour ne pas parler, pour exorciser.
Je marche dans les rues de Paris comme si c'était la première fois, le cœur au bord des lèvres, je pense à lui, est-ce qu'il pense à moi ? Est-ce qu'on va se revoir ? Est-ce qu'il va m'appeler avant mon départ ? Est-ce que je vais l'appeler ? Est-ce que je vais l'oublier ? Est-ce qu'il va m'oublier ? Est-ce qu'il m'aime un peu ? Est-ce que ça le dérange, mes 10 ans de moins ? Qu'est-ce qu'il pense ? Qu'est-ce que je dois penser ?
Lundi 11 août
Je décolle.
Ca faisait tellement longtemps.
Le corps dans les airs.
Combien de temps ?
Oh, 10 ans, environs.
Trop longtemps.
Trop parce que je n'ai rien compris aux panneaux d'embarquement porte machin-truc, que j'ai retardé l'avion de 10 minutes sans savoir où aller, que les hôtesses de l'air m'ont engueulé en soupirant, et que tous les passagers assis m'ont regardé traverser le couloir d'un air de dire "c'est elle, la connasse qui nous fout tous en retard".
Hum.
De la classe ma fille, sois fière, ignore la bave du crapaud, bombe le torse et va te cacher au fond de l'avion.
Comme en classe, au dernier rang. A l'abri des regards.
Le front collé au hublot.
Ca y est je suis heureuse. Je souris. Je suis partie. On savoure mieux le départ quand c'est en altitude.
Le soleil se couche juste pour moi ce soir. Je prends trop de photos. Me fais engueulée par les hôtesses.
J'écoute Radiohead à fond les tympans. Me fais engueulée.
Faut couper votre truc.
Rangez votre appareil photo.
Bougez plus, taisez-vous, on atterri.
22h. Au moment de sortir de l'avion, la chaleur m'a fouetté au visage.
Je dois retrouver mes 2 potos.
L'avenir a ceci de charmant qu'il est bien mystérieux.
Là, je ne le savais pas encore, mais c'était le début de 11 jours de débauche.
Ai embrassé 1 espagnol, 1 français, une portugaise, 1 anglais.
Ai flirté avec 1 français, 1 nordiste (j'ai oublié d'où exactement).
Ai couché avec 2 italiens.
Moyenne d'âge : 28 ans.
Ai bu tous les soirs, sauf pour une soirée de récupération.
Ai eu zéro gueule de bois (grande performance).
Ai dormi environs 4 à 5h par nuit.
Ai marché jusqu'à ne plus sentir mes pieds, mes jambes.
Ai pris 310 photos.
Ai parcouru 3 villes de l'Andalucia, et la capitale du Portugal.
Ai pris environs 7 fois le bus, tongues aux pieds, sac sur le dos, cernes sous les yeux, avec mes 2 potes qui chantonnent On the road again, again on se marrant.
Ai vu le jour se coucher presque tous les soirs.
Ai vu l'aube se lever presque tous les matins.
Voyage trop intense, riche, à courir partout pour ne pas perdre une miette de toutes les odeurs, de toutes les couleurs, des gens, de la chaleur, du bruit, des rires, de la nuit, des hommes, de la musique, de tout.
J'aime la vitesse, minuit, tout ce qui est éclatant, tout ce qui est noir, tout ce qui perd, et donc permet de se trouver.
Françoise Sagan.
Ne jamais s'arrêter dans l'excès.
Et écrire tous les jours, écrire son prénom à Lui, tous les jours, poser sans cesse les mêmes questions, et me perdre dans les bras des autres pour tenter de ne plus y penser.
Chercher les bouches qui tueront mes pensées.
Je couche donc j'oublie.
Tu te rends compte, tu voulais pas parler que de lui, mais il est ton fil directeur depuis le début de ton récit.
C'est bon, ta gueule.
Sevilla, Tarifa, Grenada, Lisboa.
30° à l'ombre.
Je ne mange plus, je ne dors plus : je vis.
Je plane.
Dimanche 24 août
Retour en France.
En bus. 25h.
T'écoute Cranberries à t'en faire mal à la tête, ça vibre à l'intérieur, sa voix qui résonne dans ton corps, qui chatouille toutes les parties sensibles.
Toujours tirailler entre l'envie d'être à deux endroits en même temps. La France me manque / Je ne veux pas partir de l'Andalousie / Je veux être à Lille / Non je veux trouver un appart à Paris / Je veux revoir ma grand-mère / Je veux Moon / Je veux Lui, à Lille.
J'ai retrouvé Paris. Comme toujours.
J'ai bien été obligée de ranger mes tongues.
Heureusement, seulement pour 2 jours.
Tu prends conscience de beaucoup de choses.
L'une surtout : la mort du grand-père. Au départ, ça t'a tué avec lui, t'étais une épave, un corps qu'on traîne, des yeux qui ne demandent qu'à se lâcher, lâcher la peine, l'absence, le vide, l'absence de vie.
Et puis après, c'est la résurrection. S'apercevoir de ce qu'est la vie. Ne plus rien reporter au lendemain. Ne plus perdre de temps. Ne plus se laisser vivre, dirigée par la paresse, la bêtise. Faire le tri. Ne gardez que le meilleur. Prendre soin de la grand-mère, comme jamais, l'aimer comme jamais, l'aimer comme si elle était 2. La regarder vivre et se dire que y'a que ça qui compte. Réaliser, comprendre, ouvrir les yeux. Se réveiller. Wake up Néo. Tout ça quoi. VIVRE !
Voilà, c'est bon, j'arrête avec ma crise existentielle.
Ma prise de conscience.
Tout ça pour dire que je ne me suis jamais sentie aussi bien.
J'ai 20 ans et tout commence.
Je ne veux plus jamais m'ennuyer.
L'un des 2 italiens que j'avais rencontré à Grenada habitait à Paris depuis 2 ans.
Il m'avait laissé son numéro dans un kleenex. Ecrit au stylo bic. Trop la classe. Sur un PQ ça aurait été pareil. Mais pourquoi pas ?
On s'est revu.
On s'est replu.
Nus.
Il me disait hey nina, piccola pazza, petite folle, mais tu es folle !, tu es belle, tu me plais signorella, signorinella.
J'aimais son accent italien. Je crois que je pourrais coucher les yeux fermés avec n'importe quel italien. Du moment qu'il parle. Je vibre au son de sa voix.
Sur la notice il devait y avoir un truc comme "éviter les séjours en Italie, risque de nymphomanie chronique".
Mardi 26 août
Le temps de quelques trajets en métro, et je repartais pour le sud de la France, au volant de la Golf.
Comme dans mes projets d'avenir.
En mieux.
Conduire, conduire, conduire.
J'aime la vitesse.
L'excès. L'ivresse.
Mais là bas je suis sage.
Plus de nuit blanche.
Plus d'alcool.
Plus d'homme.
Fini.
Pause.
On récupère.
A la place, des couchers de soleil, des ciels étoilés, du soleil, sieste, lecture, tennis, voiture, balade, écriture, téléphone à Moon chaque soir.
Et puis l'attente insupportable.
Ca approche. Je compte les jours, compte à rebours.
Je vais Le revoir.
(J'attaque la suite plus tard =)) )
Commentaires :
inconsciente 07-10-08
à 08:28 |
Woo woo woohh
Tu écris de mieux en mieux c'est un truc de ouf Je me suis laissée porter par ton histoire, encore une fois j'ai eu l'impression de vivre tout ce que tu décrivais... Voilà, je viens de faire mon plein de voyage pour la journée, en 10 minutes sur le joueb d'aphone... Tu me manques ma poupinette Je suis contente de savoir que tu te sens bien J'ai l'impression que tu es éclairée de l'intérieur par un nouveau soleil |
Perfect-plank 07-10-08
à 09:25 |
truc de barge..
pfiou. j'y étais. c'était bien non ? en tous cas pour moi c'était énorme. des bisous ma belle |
castor 07-10-08
à 11:39 |
Whééé, Aphone est de retour!> J'aimais son accent italien. [...] Je vibre au son de sa voix.
T'as pas joué dans Un poisson nommé Wanda, toi? Faut te méfier des Russes, alors. |
ecilora 07-10-08
à 13:50 |
Bah? Bah! C'est déjà fini!
C'est rythmé un truc de fou, j'ai pas vu la page défilée! Enfin! pourrais-je dire... Welcome back. ;) BzOo |
MangakaDine 07-10-08
à 15:35 |
J'ai l'impression d'avoir lu une notice d'Aphone et pourquoi septembre. (ma phrase est claire) |
aphone 08-10-08
à 00:37 |
Inconsciente : Oui, c'est un peu ça, éclairée par un nouveau soleil, de l'intérieur. Je suis contente d'avoir réussi à faire passer ça dans mes mots. Merci, merci, ça me fait tellement plaisir, les commentaires comme ça me rende folle de joie, je t'aime Perfect-plank : Oui, c'était bien pour moi aussi. Ton commentaire est merveilleux. Merci, moi aussi je t'embrasse, merci Castor : Lol non je ne connais pas ce film. (morte de rire) oui, très bien, j'ignore pourquoi, mais je vais me méfier des russes ! =))))) Ecilora : Déjà fini ^^ j'avoue que j'ai eu bcp de mal à écrire tout ça, revenir en arrière, trouver les mots a peu près correct. Mais la suite est en gestation, juste, j'étais trop fatiguée pour continuer hier nuit =) rhlala, c'est parfois tellement dur d'écrire ! Dine : J'ai l'impression d'avoir lu une notice d'Aphone et pourquoi septembre. (ma phrase est claire) J'ai beau la relire, je comprends pas ce que tu as voulu dire ! (C'est normal ?) |
ecilora 08-10-08
à 13:55 |
Re:Je ne te l'aurais pas permis! ;)
Non, je n'y ai pas pensé... C'est difficile d'arrêter. Mais bon, deux mois, c'est une petite éternité quand même! ^^ BzOo |
aphone 08-10-08
à 14:56 |
Re:J'dis ça, j'ai pas encore vraiment fait le grand tour des blogs que j'aime bien, mais j'ai vu que y'en avait déjà plusieurs qui fermaient boutique (pinkophage, poufpouf, Ben W) alors bon (triste quoi !) (des chouettes blogs en plus ...)(sans compter tout ceux qui se sont éteint y'a longtemps déjà) Gros bisous =))) |
MangakaDine 08-10-08
à 18:29 |
Re:Ouais, clair! Un cri de guerre! |
ecilora 08-10-08
à 20:31 |
Re:Voilà, maintenant, je vais passer la soirée à chercher un nom... lalala
Je suis pas couchée! ;) |
ninoutita 28-10-08
à 15:22 |
Putain tu m'as tellement manqué !
Tu ne me refais plus jamais ce coups là ! |
Ben W. 29-10-08
à 00:35 |
Re:Elle est en train de le refaire ! Alala... Nous sommes dépendants...
|
ecilora 31-10-08
à 21:48 |
Hé ma p'tite dame!!
Que deviens-tu? |
aphone 01-11-08
à 02:53 |
Je m'agace moi-même. Ca me fait vraiment plaisir que certains demandent de mes nouvelles. J'suis pareille, j'attends de voir quand j'vais réussir à écrire, venir vous lire, être vraiment de retour. J'traverse une période très étrange, inhabituelle, stressante, riche en émotions, trop riche, beaucoup trop d'évènements ... et j'arrive pas à poser des mots dessus, j'ai pas le temps en fait, chaque jour j'espère le trouver mais j'cours partout, j'suis fatiguée, fatiguée de vivre les choses une première fois, et pas la force de les vivre une seconde fois ici, sur l'écran ... Là je suis en vacances depuis quelques heures, j'vais essayé d'arrêter de me surcharger, et venir écrire, si j'arrive à tout clarifier... J'en ai vraiment besoin, en plus ...
Ein kiss =) |