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Les mots sans le son


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Non, je parle de l'écriture personnelle, de ce mouvement qui va de l'intérieur vers l'extérieur pour exprimer ce qui s'est imprimé en soi - écrire pour dire son expérience, ses rêves, écrire pour dire son désir, l'attraper dans le filet des mots comme un poisson gigotant.
Celle que vous croyez, de Camille Laurens
Tornade

J'ai rencontré quelqu'un.
Il faut que je vous raconte.

C'est fini avec Th.
Alors ça n'est pas comme si tout était rose.
Comme si j'avais pas de remords.
Mais laisse-moi dans mon rêve.
Laisse-moi.
Ne lis pas.

Samedi

Le train est parti de gare du nord à 7h du matin, je n'avais pas beaucoup dormi, parce que Th était venu chez moi, parce qu'il ne voulait pas que je parte fâchée.
Mais moi je partais pour m'éloigner.
Je partais pour trouver des réponses.

J'étais heureuse, même si mes yeux tenaient à peine ouverts.
Le train s'enfonçait dans la forêt.

Je suis arrivée à la gare avec le sourire. J'ai vu ma blonde au bout qui m'attendait, et puis elle m'a emmené avec elle dans sa ville. Je tentais de la suivre malgré les nombreuses fois où j'ai trébuché. Resto chinois. J'sentais encore le poids de mes problèmes mais j'voyais que ça allait bientôt se barrer. Magasins de fringues colorés, métro comme les montagnes russes. J'ai découvert tout ce que j'avais lu et vu sur quelques photos, et ça faisait tout drôle. Sa maison, ses parents, sa chambre. On a fait une sieste (bien méritée) avant d'aller faire la fête chez Kournikova.

Comme c'est dur de tout raconter.

Les gens sont arrivés un par un, de plus en plus nombreux, pendant que le soleil se couchait doucement et que nous remplissions nos verres de plus en plus vite.
J'ai aimé tout cet univers, tous ces gens, tous ces sourires.
Il y a eu le frère de Kournikova, le blondinet, qui a tenté de me draguer en me versant de la bière dans les cheveux et en me disant le mot "euphémisme".

J'étais gênée.

Il y a eu le grand bonhomme, qui m'attrapait par les hanches pour que je vienne danser avec lui.
J'étais encore plus gênée.
2 prédateurs c'est dur à gérer !

Et puis il y avait le marsupilami.
Celui qui jouait discrètement de la guitare alors que je tentais de chanter, un peu bourrée déjà.

Minuit.

Nous avons pris les voitures et nous sommes partis pour le Sand, en Belgique.
La vitesse, les yeux qui voit trouble, mes fous rire, ma petite Ryne à côté de moi en train de dire des conneries, les étoiles, les étoiles qui manquent à Paris.
Je riais beaucoup.

Ryne m'a emmené très rapidement à l'intérieur.
C'était grand.
C'était chouette.

On a pris des verres.
On a dansé.

Le blondinet essayait encore de m'approcher, de façon plus ou moins subtil, du "j'ai froid aux mains réchauffe-moi" (hum) aux "demain à 15h promis, tu m'appelles et tu me dis le mot métaphore, ok ?" (re-hum)

J'ai beaucoup bu, c'est trouble, ma gavroche n'est plus sur ma tête, le blondinet me tient les hanches, et le grand brun n'est pas très loin non plus pour m'entraîner près de lui.
Je fuis.
Tant bien que mal.
Enfin très mal mais bon.

Il y a eu les marches devant le Sand, assise à côté du Marsupilami.
Comment ça a commencé, je ne sais plus.
J'aimais bien lui parler.
Et puis c'était un peu comme mon bouclier.

Je l'ai pris par la main plusieurs pour l'emmené à l'écart et lui raconter toute ma vie.
Il me suivait.
On parlait.
J'ai senti son odeur, je me suis approchée, et je lui ai fait un câlin.
Tu sais, j'ai l'alcool affectif.

Ryne me prenait par la main pour aller jusqu'au bar.
Allez, encore une tékila paf !
Le sel, le citron, et hop.

Nous attendions Costa avec impatience pour que je puisse dévisager la bête.
Mais la bête n'est pas venue.
Ryne était triste.
Tous des connards.

Mais très vite on a recommencé à brailler sur la musique.
Je continuais de skouater le Marsupi.
Mon bouclier.

6h.

Le Sand va bientôt fermer.

Ryne est en train de parler au cousin de Costa.
J'ai retrouvé ma gavroche, elle sent l'anis.
Il y a le Marsupi.
Il y a le soleil aussi.

Ryne me dit de rentrer avec Marsupi, alors nous rentrons.
Il me ramène dans sa voiture.
Mon sac était dans une autre voiture.
Je dis tant pis, et je comate à l'arrière avec un sourire.

Il me dit qu'il aimerait bien passer le permis pour piloter des avions.
J'lui dis que oui, ça doit être trop chouette.
Il me regarde avec des yeux.
Des yeux qui disent des tonnes de choses.

Je monte me coucher avec des idées bizarres dans la tête.
Je crois que c'est yeux me disaient beaucoup trop de choses.
J'essaye de ne plus y penser.

Je monte le plus doucement possible dans la chambre (en réveillant ses parents)
Je m'enroule dans la couverture tel un sushi
Je commence à peine à fermer les yeux quand j'entends des gros BOUM dans l'escalier.

J'me dis "tiens, déjà !"
Elle rentre dans la chambre telle une furie, allume la lumière et me crie en chuchotant "LEVE-TOI MAINTENANT !! ON VA À LA PLAGE !!!"

Euuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh
C'est dire que là je suis carrément fatiguée là.

Elle insiste.
Je résiste.
Elle ressort.
Je m'endors.

Là je commence à me demander sérieusement si ma blonde envisage de dormir la nuit ou pas.

Dimanche


Je me suis réveillée seule dans la chambre.
J'ai entendu qu'elle était en bas avec Fred.
Je suis descendue dans le jardin où nous émergions tranquillement.

Et puis ...

Et puis il y a eu la glace avec ma blonde et ses parents en belgique.
Les "s'il vous plait" pour dire "merci"
Leur accent
Mon accent qui les fait rire.

Il y a eu la soirée Ally mc Beal aussi, nos discussions, nos corps fatigués.

Tu sais, c'est flou un peu.
Cette semaine est passée comme une tornade.
Une tornade qui ouvre les yeux.
Je n'ai pas pleuré.
Je ne me suis pas plains.
Juste, j'étais heureuse.

Il y a eu le coup de téléphone de Marsupi pour me revoir.
Le RDV donné à l'Homme pour lui rendre son pull.
Mon impatience de le voir enfin.
La maison du Marsupi, et sa mère, une furie.
Il y a eu le bar, les bières, les regards qu'il me lançait, et ceux que je lui rendais.

Il a les yeux vert-bleu.

J'ai pas l'habitude, j'suis pas préparée moi, j'avais pas d'arme.
Je lui piquais un peu de ses cigarettes en le dévisageant.
Il me dévisageait.

Pendant que Ryne et l'Homme discutaient de leur relation, de leur rupture, et que ça me faisait rire de les voir s'embrouiller, complices.

Il a posé ses deux mains sur mes hanches, il m'a fixé, et puis il a mis ses lèvres sur mes joues.
Je ne pouvais plus bouger.
Il me faisait de l'effet.
On s'est envoyé des regards avant de se séparer totalement.
Dans la voiture, je pensais à lui.

Le soir nous sommes allée chez Kournikova.
J'ai bu du jus de poulpe et d'autres alcools bizarres.
J'ai raconté pas mal de conneries et Ryne se foutait de moi.
Tous ses amis, je les adorais déjà.
J'étais bien ici, c'était devenu chez moi.
Jouer à Sing star une bonne partie de la soirée.

Mais il me manquait Marsupi.
J'ai piqué le portable de Ryne pour lui envoyer des textos d'insultes.
Il m'a répondu.
J'ai continué.
Le jeu des sous-entendus.
Il avait bien compris.
J'avais compris aussi.

Et puis je suis allée vomir le jus de poulpe et je me suis couchée vers 5h.

Lundi

Les jours se mélangent encore dans ma tête.

Ma blonde s'est réveillée en sursaut à 13h.
Elle avait oublié le dîner chez sa grand-mère.
Alors le temps d'ouvrir les yeux et de m'habiller, nous étions parti.

C'était comme une tornade, comme du vent frai.

Sa grand-mère était souriante et chaleureuse.
Elle nous avait préparé des cheveux d'ange.
Par terre il y avait le chat, boule de poils à câliner.
On écoutait des vinils d'un air passionné.

Le soleil brillait fort d'un coup.
On est allé dans sa petite forêt prendre de belles photos.
Près du lac.

J'ai reçu un texto de Marsupi.
Sans raison précise.
Ca voulait dire "je pense à toi".
J'ai répondu "moi aussi".
Les mots veulent tellement rien dire parfois.

On a pris le bus pour aller se faire pouponner le visage chez une amie de Fred.
Il y a avait des bébés partout, l'accent du nord très prononcé, le petit chaton, nos visages recouverts de crèmes pour être douce et belle, les gâteaux sur la table.

J'aurais dû rentrer à Paris.
Mais ma blonde m'a proposé de venir avec elle à la plage mercredi et jeudi.
Je suis restée.

Soirée Ally mc beal, stresse du lendemain, parce qu'il y aura le Marsupi, parce que je me demande si je serai à côté de lui dans la voiture, parce que je me demande où je vais comme ça.
Je n'arrive pas à dormir.

Mercredi.

Je suis à côté de lui dans la voiture.
Ca m'évite de voir ses yeux.
Ses yeux vert-bleu.

Je sens ma main aller vers la sienne.
Je sens la sienne m'attraper.
Je sens son épaule sur ma joue.
Je sens la joie.

Rien d'autre.

Ils sont partis chercher Manzin à la gare.
On est là tous les deux, parce qu'il n'y a pas assez de place dans la voiture pour 6.
J'ai surtout l'impression qu'ils nous offrent de l'intimité.
On cherche à faire marcher la Tv, mais je sais que j'en ai rien à foutre.
Je me blotti contre lui.

J'ai peur, le coeur qui bat à 100 à l'heure, sensations oubliées, sensations regrettées, je profite, de chaque mouvement, de chaque tremblement.

On fume une cigarette sur le balcon.
On parle encore.
Il a fini sa cigarette, il s'apprête à rentrer.
On se fixe.
Moi dans ses yeux, comme dans un lac.
Je m'approche et je l'embrasse.

On va à la plage.
Il me prend la main et ça fait petit couple.
J'ai des remords.

Manzin coure pied nu jusqu'à la mer.
Je coure aussi.
Je l'adore ce mec.
On fait les cons, on prend des photos.
En pull sur la plage, il y a du vent, il y a des nuages, mais j'aime.

Ryne et Manzin fabrique un sein sur le sable.
On fait des cabrioles.

Il me dit "et pour ton copain ?"
Je lui dis "j'en sais rien".

Je veux juste marcher pied nu sur le sable et regarder tes yeux.

On est rentré après avoir mangé une crêpe.

Je l'approchais autant qu'il m'approchait.
Ces moments passés sur le balcon à s'envoyer des messages bien précis, avec les yeux, avec les mains, l'alcool qu'on sert dans les verres, ma tête qui chauffe, mon corps qui se rapproche, les pattes que nous avons mangé, les jeux débiles avec des mimes d’ornithorynques, les programmes nuls à la télé, et la nuit qui tombe, l'heure de dormir, l'heure de se rejoindre.

Les jours passaient comme des éclairs.
Il m'a dit "tu as l'air tellement heureuse".
Je me disais "je suis heureuse".

Y'avait pu les problèmes.
Y'avait pu les problèmes et les psy.
Y'avait la musique, la mer, les étoiles, les yeux bleu.

Et des réponses très claires à l'horizon.

Même si.

Jeudi

On est rentré.
C'était un peu le dernier jour pour moi.
Kournikova a proposé de finir les bouteilles chez elle.

Marsupi et moi avons vidé celle de bière dans la voiture, pour ensuite se plaindre d'avoir envie de faire pipi en se marrant.
Et on chante, et toujours les yeux vert-bleu.

J'ai fait une petite pause dans la chambre de Ryne.
Allongée les yeux dans le vide.
J'ai essayé de faire le point.
Mais j'y arrivais pas.
J'ai juste pris mon billet de train pour demain matin.
Et on est reparti.

Après avoir ENFIN vu Costa, juste un peu, parce que je voulais quand même pas trop les embêter, ces deux là.
Sont mignons !

On est chez Kournikova.
Les yeux bleus étaient devenus des drogues.
Y'avait beau y avoir du monde autour, moi je ne regardais que ça.

Ryne m'a chuchoté une idée à l'oreille.
Et si t'allais dormir chez lui ?
Je chuchote cette même idée à son oreille de Marsupi, il me dit oui.

Alors il y a la voiture, la techno à fond, mon euphorie, la nuit, nos discutions qui ne s'arrêtent jamais, parce que j'adore l'écouter, parce qu'il à pleins de choses à m'apprendre, du haut de ses 24 ans.

Il y a eu sa chambre, petite chambre avec un matelas par terre, obscurité, les photos qu'il m'a montré, ses musiques qu'il a composées, et puis je sais pas trop ce qu'il s'est passé, je crois que c'était trop tard.
J'avais le coeur qui vibrait, tout en le mangeant des yeux, je me disais qu'un mec comme ça pouvait pas vraiment exister.
Il m'a posé les questions que j'avais arrêté de poser.
Alors on fait une nuit blanche, parce que je pouvais dormir, non, j'pouvais pas.

A 6h, j'ai dit que je ne voulais plus partir.
Il m'a dit prends un autre train

I said yes.

Rassurée, j'ai dormi un peu.
J'avais peur de rentrer à Paris, me confronter à mes erreurs, devoir expliquer, et le rendre triste, mon Th.

Samedi

Il m'a emmené à Lille encore.
Le soleil nous faisait la fête.
Alors on a mangé en tête à tête sans jamais s'arrêter de parler.
Il a mis son parfum sur moi comme pour me garder.
Si seulement j'^pouvais rester.

Je suis montée dans le train.
Il m'a dit j'ai mal au coeur

Je voyais le paysage défilé et mon coeur se serré lentement.
Coup de blues.
Fin du rêve.

Le métro, les habitudes, les repères, et puis comment annoncer ça, comment raconter, pourquoi raconter, ...

Mais j'ai souri en voyant Reno et Matthieu arrivés vers moi en dansant alors leur tête d'abrutis.
Je les aime ces cons.

Et Reno qui me connaît trop bien et qui lit tout sur mon visage.
Alors tu l'as trompé combien de fois ?
J'suis mal à l'aise d'un coup.
Il va falloir affronter.

Et puis rompre.

J'ai rompu.
Tout à l'heure.
Alors qu'il me disait qu'il essayerait de me reprendre.

Je sais bien que je ne vois pas l'avenir ainsi.

Je me vois partir de Paris.
Je me vois aller étudier à Lille, avec ma blonde, et le Marsupi pas loin.
Je me vois changer de monde, même si c'est qu'un peu.
Qu'un an.

Je veux partir.
Je vais partir.

J'veux suivre la passion, la musique, les nuits blanches, les picotements dans la coeur, l'air frai.
Etre dans la fac de ma blonde et insulter Nala ensemble.
Je l'aime ma blonde, elle me fait rire, elle est comme une tornade pour moi, ça me fait du bien.

Et puis faire s'accoupler nos ratous.
Passer le permis de conduire.
Avec une piaule beaucoup plus grande.
Voir des nouvelles têtes.

J'veux vivre.
J'veux pas dormir.

C'est peut-être n'importe quoi.
Oui.

J'suis heureuse.



(Musique : I was born a cancer - Jack the ripper)

Ecrit par aphone
le Lundi 16 Juillet 2007
à 15:20



Commentaires :

  mondaye
16-07-07
à 16:07

J'me dis ça aussi parfois, pourquoi j'suis pas toutes mes idées loufoques de temps en temps, hein...? Bah, trop rationnelle. Trop les pieds sur terre. Plaisir de te voir comme ça, changer d'air. Etre n'heureuse c'est l'essentiel. Au final j'dirai juste "arrête d'écrire que tu bois", tu m'donnes envie d'aller aux WC à force :D

M'enfin, bon aprem ^^

PS : Huhu, je verrai bien un design couleur bleu/vert pour fêter ça x)



  aphone
16-07-07
à 18:22

Re:

Ahah t'aimes pas l'alcool ^^
Merci, moi aussi j'suis contente de changer d'air, j'avoue.
=)

  Mandragore
16-07-07
à 16:15

Bon voilà, c'est fait!
 

  aphone
16-07-07
à 18:23

Re:

Ouai, c'est fait !
Maintenant, je laisse aller ^^

  castor
16-07-07
à 16:51

Pas mal comme phrase d'attaque

La prochaine fois que je draguerai une fille, faudra que je pense à lui sortir: "Appelle-moi à 14h13, et parle-moi de logarithmes."

  aphone
16-07-07
à 18:24

Re: Pas mal comme phrase d'attaque

Mdr !

En tout cas, ça n'a pas marché avec moi, mais c'est à essayer ^^


  Pitseleh
16-07-07
à 18:13

Ah, un nouvel article. ^^

Pour plagier un peu Mandaye, je dirais qu'en effet, c'est bien que tu changes d'air, que tu voies de nouvelles têtes. C'est bien d'aller de l'avant, de vivre à fond un bon coup. Picoler un bon coup aussi à ce que je vois. xD

Ressentir aussi ces p'tits trucs dans le ventre, avoir envie de le voir, etc... de toute façon il fallait faire un choix et rompre avec Th n'était probablement pas la mauvaise solution. Surtout si tu es si heureuse.

Au plaisir. :)


  aphone
16-07-07
à 18:26

Re:

Mais je n'ai pas besoin d'être dans une autre ville pour boire lol, ça c'est n'importe où ^^

Merci d'avoir lu et de passer ici, bisous miss !


  Pitseleh
16-07-07
à 18:14

Mondaye*

Excusez, j'aime pas les fautes d'orthographe, surtout concernant les noms. =X


  mondaye
16-07-07
à 19:27

Re:

Huhu, moi non plus j'aime pas les fautes aux noms, surtout à mon mien x) Zentil d'avoir corriger, mais je rappelle qu'il n'y a pas de majusucule à "mondaye" xD *mode : chieuse le retour*

Je m'y habitue mais quand même.

  aphone
16-07-07
à 19:33

Re:

Oh les chieuses !
Lol !
^^

  Pitseleh
16-07-07
à 21:18

Re:

MDR

Wooops désolée. xD xD

Moi non plus j'aime pas les fautes à mon nom. J'ai eu souvent droit à des Pisteleh ou je ne sais quoi. Le plus affligeant c'est au niveau de la prononciation :

"Pit... pist... pi.."
"PITSELEH !!!!!"
"Ah oui voilà, désolé ! ^^' "

Gnéééééé !


  inconsciente
16-07-07
à 23:52

c'est génial !
tu avais besoin d'un peu de nouveau, d'un peu de ce vent frais presque exotique au goût de soirées, de nuits blanches, de baisers, de fous-rires...
et surtout sans points d'interrogations, sans doutes qui te rongent le ventre.
car la petite angoisse ressentie avant de voir le Marsu elle est plutôt agréable au fond...
enfin si c'est bien celle que j'imagine...

j'aime bien l'expression "j'ai l'alcool affectif"
^^

je suis contente de te lire

bonne continuation

:)

  aphone
17-07-07
à 14:36

Re:

Ui je suis super contente, je pars officiellement à Lille !
Mon iPod va super bien je l'aime d'une passion dévorante (par rapport à ton com chez toi)
C'était super l'angoisse avec le Marsupi, j'aime bien les tremblements du début ^^
Moi aussi j'aime te lire
Gros bisous!!

  inconsciente
19-07-07
à 19:31

Re:

Alors je te souhaite bien d'autres tremblements et de passions ipodesques...

gros bisous à toi aussi :)

  Mandragore
17-07-07
à 13:53

Arrêtez  de parler de ventre vous allez finir par m'exciter.
Pensez à ceux qui ont faim...

  aphone
17-07-07
à 15:00

Re:

ahaha !
Faut manger !
;)


  Malabar
17-07-07
à 19:35

Ah je sais, la prochaine fois, j'irai voir Ryne à Lille :D Elle a peut-être d'autres yeux verts à me présenter huhu.

Je suis contente que tu sois heureuse, c'était ce qu'il fallait faire. Quand l'amour part et les doutes commencent à s'installer, il faut partir.

Des bisous mademoiselle. J'aime bien les dauphins :p

  ecilora
17-07-07
à 22:09

Re:

Tu vas te faire gronder comme moi! Ce n'est pas un dauphin, c'est un orque! :D
Oui, je sais, faut le savoir mais il y a des personnes qui savent faire la différence! ;)

  ryne
17-07-07
à 22:39

Re:

Ouais, tout le monde a Lille!!!!
Du moment qu'on touche pas aux yeux bleus de Costa, j'veux bien partager tous les hommes de mon harem...
Ma petite Aphone d'amour cherie de mon embrase par ton affection, je suis heureuse. Heureuse de te connaitre. Heureuse de t'avoir presenter Marsu. Heureuse d'etre par procuration un peu responsable de ton bonheur.
A septembre ma doucette.
T'ES TROP BONNE!!!!

  aphone
18-07-07
à 14:30

Re:

Ouaiiiiiiiiiiii !
Nan t'inquiète, je toucherai jamais à Costa, t'es folle ! Ni à l'Homme (l'oncle me suffit ^^)
Moi aussi tu le sais que jt 'aime plus fort que tout, en plus faut que je te raconte, je serai dans la même classe que la femme du frère de Songe ! ahah ste vie =)

  aphone
18-07-07
à 14:26

Re: Malabar

Lol ouai y'a pas mal de beaux gosses à Lille, bah tu viendras nous voir parce que moi aussi j'y serai du coup ^^
Hihi merci je te fais de gros bisous, et oui Ecilora a raison, c'est pas un DAUPHIN, c'est une ORQUE =p
(C'est pas grave je t'en veux pas si t'étais pas fan de Sauvez Willy ^^)

  Songe
20-07-07
à 13:59

Tu serais bien à lille je pense, j'y suis allé trois fois et à chaque fois il y avait ce quelque chose qui fait du bien ...

C'est un très bel article je trouve et je te souhaite vraiment de bien jolies choses là-bas :)

  aphone
25-07-07
à 17:10

Re:

Merci ça me touche beaucoup ! Je vois que tout le monde m'encourage à partir, je ne m'y attendais pas du tout, et j'suis heureuse =)
Je serai dans la classe de la femme de ton frère lol

  Songe
26-07-07
à 14:13

Re:

Il m'a dit ça oui, comme quoi le monde reste petit :)

Je pense qu'il faut changer d'air régulièrement dans la vie pour pouvoir se ressourcer. Et l'air de Lille, même s'il est froid quand ça souffle, est rassénérant.


  Perfect-plank
21-07-07
à 11:58

profite... laisse toi aller...
tu as au moins eu un instant de paix dans ce tourbillon
poursuis le

  aphone
25-07-07
à 17:11

Re:

J'le poursuis j'le poursuis ...
J'ai dû mal à m'en passer *yeux qui brillent*
=)



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